On a coutume de moquer les Cours d’Ancien Régime, où se pressaient la noblesse pour décrocher charges et privilèges. Les belles marquises passaient des bras d’un puissant à un autre. Aujourd’hui, force est de constater que rien n’a changé.
Les courtisanes sont remplacées par les icônes médiatiques en vue passées par les bonnes institutions et partageant la même vision du monde que ceux dont elles partagent la couche. Difficile dans ces conditions de considérer la presse comme un contre pouvoir informant les citoyens « en toute objectivité »…