Suite à sa tournée dans les médias anglo-saxons durant laquelle elle enfonce le clou au sujet de son ex-compagnon François Hollande, Valérie Trierweiler s’est retrouvée en couverture de Paris Match. Un mélange des genres qui pour être désormais habituel n’en demeure pas moins étonnant.
Ce n’est en effet pas la première fois que la journaliste trône en une du magazine qui l’emploie depuis vingt-cinq ans. En septembre dernier, elle y figurait déjà après la parution de son livre Merci pour ce moment, dont Paris Match publiait les bonnes feuilles, surfant sur la popularité de sa journaliste.
« La journaliste est élevée par son magazine au rang de “Superstar” après la sortie de son livre en Italie et au Royaume-Uni », note L’Express. Sur les réseaux sociaux, la photo (prise par le Times) a fait beaucoup réagir.
L’utilisateur « Diradefo » se demande par exemple si la convention de Genève autorise « un tel usage de photoshop » quand le journaliste Thomas Vampouille, qui écrit pour Metronews, s’interroge ironiquement de son côté : « Quand est-ce que je fais la une de Metronews ? »
Belle photo de #Trierweiler à la Une de Paris Match (elle posait pour The Times si je ne fais pas d’erreur) pic.twitter.com/SjtZJkH5HA
— Gilles Klein (@GillesKLEIN) 27 Novembre 2014