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Marc Fauvelle

23 mai 2023

Temps de lecture : 13 minutes
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Marc Fauvelle

Temps de lecture : 13 minutes

Profession : syndiqué

Après une classe préparatoire littéraire au prestigieux  lycée Lâkanal de Sceaux, Marc Fauvelle est titulaire d’une maîtrise de sciences et techniques (MST) de journalisme, obtenue au Centre universitaire d’enseignement du journalisme (CUEJ) de Strasbourg, en 1998. Il est depuis mai 2023, le directeur de l’information de France Inter après avoir été longtemps « l’homme le plus écouté de France » sur la même station lorsqu’il était aux manettes de sa matinale entre 2013 et 2018.

Parcours professionnel

Il débute sa car­rière à Radio France Alsace, ancêtre de France bleu, où il doit don­ner les résul­tats de ren­con­tres de foot­ball locales, avant d’être recruté en tant que rédac­teur-reporter à Radio France Mul­ti­mé­dia (2000) puis d’intégrer France Info (2003) d’abord comme reporter, puis comme jour­nal­iste du ser­vice politique.

À par­tir d’octobre 2006, il présente, avec Thomas Hugues, « À sa place vous feriez quoi ? », une inter­view quo­ti­di­enne de 7 min­utes dif­fusée en direct et en simul­tané sur la chaîne d’information en con­tinu i>Télé et France Info du lun­di au jeu­di à 19 h 16.

De sep­tem­bre 2007 à juil­let 2011, il présente, avec Raphaëlle Duchemin, la mati­nale de France Info, de 7 h à 11 h, puis, à par­tir de sep­tem­bre 2009, de 7 h à 10 h, avec Nico­las Poin­caré et Raphaëlle Duchemin et enfin, à par­tir de févri­er 2011 avec Olivi­er Emond et Raphaëlle Duchemin.

Il rejoint i>Télé en sep­tem­bre 2011 pour présen­ter la tranche de 17 h à 20 h, avec Léa Salamé (voir portrait).

En jan­vi­er 2013, il quitte i>Télé et retourne à Radio France où il est nom­mé chef du ser­vice poli­tique à France Inter, en rem­place­ment de Jean-François Achilli devenu directeur de la rédac­tion de RMC. Jusqu’en 2015, il ani­me alors l’émission « Tous politiques ».

À la ren­trée 2018, il suc­cède à Bruce Tou­s­saint pour présen­ter la mati­nale de France Info.  Il réus­sit à hauss­er l’audience de la radio à 2,6 mil­lions d’auditeurs, la meilleure audi­ence pour la mati­nale depuis 10 ans.

Fort de ce suc­cès remar­qué, il est pro­mu directeur de l’information de France Inter en mai 2023. En plein renou­velle­ment, la sta­tion dirigée par Adèle Van Reeth fait con­fi­ance à un ancien de la mai­son pour pal­li­er le départ à la retraite de Cather­ine Nayl. Pour la direc­trice, le jour­nal­iste est « un très grand con­nais­seur de la mai­son et un très grand défenseur du ser­vice pub­lic ». En interne, les salariés d’Inter sont inqui­ets de l’arrivée du jour­nal­iste, dont la répu­ta­tion veut qu’il soit cas­sant, colérique et très exigeant avec ses col­lègues selon Le Parisien.

Parcours militant

Marc Fau­velle a été adhérent, et élu durant 9 ans, du Syn­di­cat Nation­al des Jour­nal­istes (SNJ), classé à gauche (voir sa nébuleuse).

En 2002, il était can­di­dat aux élec­tions du Comité d’Entreprise sur la liste du Syn­di­cat nation­al des jour­nal­istes (SNJ) Radio France.

En 2004, il était can­di­dat tit­u­laire au Comité d’Entreprise sur la liste du Syn­di­cat nation­al des jour­nal­istes (SNJ) Radio France.

En 2006, il a été élu comme représen­tant du per­son­nel au Comité d’Établissement de Radio France en Île-de-France sur la liste du Syn­di­cat nation­al des jour­nal­istes (SNJ) Radio France.

En 2009, il a été élu comme sup­pléant sur la liste du Syn­di­cat nation­al des jour­nal­istes (SNJ) pour le Comité d’Etablissement (CE) Paris Ile de France.

Publications

Non ren­seigné

Collaborations

Marc Fau­velle a par­ticipé à la com­mu­ni­ca­tion du con­grès de « Planète PME » 2011 organ­isée par la Con­fédéra­tion générale des PME (CGPME). Son nom appa­raît en effet sur le com­mu­niqué de presse post Man­i­fes­ta­tion, à moins qu’il ne s’agisse d’un homonyme. La com­mu­ni­ca­tion de cet événe­ment par « Image et stratégie » : « une agence de con­seil recon­nue pour son exper­tise en com­mu­ni­ca­tion publique et insti­tu­tion­nelle. Créée par Thier­ry Saussez en 1982, elle est reprise en 2008 par le PDG de Ligne 42 et ancien jour­nal­iste, Bruno Fuchs. Sous son impul­sion, l’agence développe sa capac­ité à inter­venir dans le débat pub­lic et son savoir-faire sur tous les métiers de la com­mu­ni­ca­tion. Forte de quar­ante col­lab­o­ra­teurs, elle est dev­enue une référence des straté­gies de com­mu­ni­ca­tion de mar­que, des événe­ments et de l’e‑reputation. Elle pro­pose désor­mais à ses clients, plus de cinquante insti­tu­tions et grandes entre­pris­es, des straté­gies glob­ales. »

Ce qu’il gagne

Non ren­seigné.

Filmographie

Il est un des pro­tag­o­nistes prin­ci­paux dans le doc­u­men­taire réal­isé par sa col­lègue Sal­hia Brakhlia et Mouloud Achour « Ser­vice Pub­lic », qui dévoile l’intimité de la rédac­tion du ser­vice poli­tique de Fran­ce­in­fo lors des élec­tions prési­den­tielles de 2022.

Vie privée

Il est mar­ié à une jour­nal­iste et est père de deux enfants, nés en 2009 et 2011.

Il partage des liens de par­en­té avec l’historien african­iste François-Xavier Fau­velle, pro­fesseur au Col­lège de France depuis 2018. Il est un des rédac­teurs de l’Histoire mon­di­ale de France coor­don­née par Patrick Boucheron (la recen­sion de l’OJIM est à lire ici).

Il l’a dit

Tweet du 16 novem­bre 2011 : « Moi aus­si j’ai ri jaune… “@srebouh: “J’ai fait quand même le Vel d’Hiv, euh le vélo­drome de Mar­seille” Jean Marie Le Pen sur France 3 # »

Tweet du 5 févri­er 2012 : « Au fait, Claude Gueant sera décomp­té du temps de parole de quelle civil­i­sa­tion ? »

Tweet du 5 mars 2012 : « on attend les félic­i­ta­tions de Bachar. “@itele: Chine : Hu Jin­tao a félic­ité Pou­tine après “le suc­cès” de l’élec­tion en Russie” »

« On a coupé la parole, tout sim­ple­ment parce qu’on va essay­er de ne pas rajouter de l’huile sur le feu vu le cli­mat ambiant. On pense évidem­ment à ce qui se passe en Israël et en Pales­tine. » France Inter, 9 juil­let 2014, après avoir coupé la parole en direct à une auditrice qui posait une ques­tion sur la Ligue de Défense Juive.

« L’interview par­faite, c’est un entre­tien qu’on a pré­paré plusieurs heures et où finale­ment on ne pose pas une seule des ques­tions prévues. Ça se passe les yeux dans les yeux. », Télérama, 15/11/2018.

« J’ai besoin de boss­er dix-huit heures par jour, sinon j’ai l’impression qu’on va me brûler ma carte de presse ! Une inter­view, il faut la pré­par­er « gigan­tesque­ment » mais finale­ment, elle n’est jamais meilleure que quand le plan change au dernier moment .», Ouest-France, 20/02/2019.

« L’interview, on la pré­pare, Sal­hia et moi, la veille et puis on la peaufine le matin. Mais c’est vrai qu’en amont, quand on reçoit un invité par exem­ple, on va voir la cel­lule Vrai du faux en amont pour savoir tout ce que cet invité a pu dire dans les médias dans les semaines qui ont précédé ou les années qui ont précédé et qui a pu être faux. On va voir les ser­vices qui nous don­nent leur avis sur les thèmes qui pour eux sont en train de mon­ter, qui sont pas for­cé­ment les thèmes que nous, on avait prévu de met­tre en avant. Ensuite, on fait une syn­thèse de tout ça, ensuite, notre sub­jec­tiv­ité et c’est là qu’elle arrive, arrive dans le choix de cer­taines ques­tions, le choix de cer­tains thèmes. Par exem­ple, faut-il inter­roger un can­di­dat à l’élection prési­den­tielle sur ses thèmes de prédilec­tion ? Ou, au con­traire, sur les thèmes sur lesquels il n’a jamais par­lé ? », Fran­ce­in­fo, 26/11/2022.

« Bon­jour François Ruf­fin. Le groupe français Total­En­er­gies annonce ce matin des prof­its records : 19 mil­liards d’euros dégagés l’an dernier. Est-ce que c’est une bonne nou­velle pour les salariés et pour l’économie française ? », Fran­ce­in­fo, 08/02/2023.

Sa nébuleuse

Philippe Poule­nard, rédac­teur en chef de la mati­nale de France Info.

Sal­hia Brakhlia, co-présen­ta­trice de l’interview poli­tique de 8h30 sur la matinale.

Renaud Dély, co-ani­ma­teur de la mati­nale de France Info.

Syn­di­cat Nation­al des Jour­nal­istes (SNJ) de Radio France (classé à gauche) : « Relancée dans les années 80, la sec­tion Radio France du SNJ s’est pro­gres­sive­ment imposée depuis 25 ans comme le pre­mier syn­di­cat de jour­nal­istes dans l’entreprise. Avec aujourd’hui quelque 120 adhérents à jour de coti­sa­tion (soit env­i­ron 20% des effec­tifs), le Snj est depuis longtemps le syn­di­cat de jour­nal­istes le plus représen­té dans les radios locales et son audi­ence n’a cessé de croître dans les rédac­tions nationales où il est arrivé large­ment en tête lors des dernières élec­tions DP. Le SNJ est l’artisan n°1 des prin­ci­paux accords soci­aux jour­nal­istes signés à Radio France depuis 15 ans (…) Ses valeurs sont sim­ples : la défense des intérêts matériels et moraux des jour­nal­istes et la défense des valeurs de ser­vice pub­lic et de l’indépendance édi­to­ri­ale des rédac­tions de Radio France, avec un même refus des com­pro­mis­sions et du dogmatisme.

Le SNJ est de nou­veau à la manœu­vre lors de la plus longue grève de l’histoire de Radio France (63 jours), qui débute en novem­bre 2019 et est sus­pendue jusqu’en mars 2020.

Syn­di­cat Nation­al des Jour­nal­istes (SNJ) : « Le SNJ Radio France est l’une des prin­ci­pales sec­tions du Syn­di­cat Nation­al des Jour­nal­istes. Pre­mier syn­di­cat de jour­nal­istes, le plus présent dans toutes les régions et toutes les entre­pris­es (…) Le SNJ n’est toute­fois pas un syn­di­cat cor­po­ratiste. Il est d’ailleurs mem­bre de Sol­idaires. » Classée à gauche voire à l’extrême-gauche, l’U­nion syn­di­cale Sol­idaires est une union syn­di­cale française créée le 10 décem­bre 1981, dont le SNJ est l’un des neuf cofon­da­teurs. L’acronyme SUD (Sol­idaires Uni­taires Démoc­ra­tiques) désigne une par­tie de ces syn­di­cats nationaux et fédéra­tions mem­bres Sol­idaires. Texte de présen­ta­tion de la man­i­fes­ta­tion du 1er mai 2012 : « Dans cette péri­ode de crise en France et en Europe, les organ­i­sa­tions syn­di­cales CFDT, CGT, FSU, Sol­idaires, UNSA affir­ment leur volon­té de faire du 1er mai 2012, journée de sol­i­dar­ité inter­na­tionale du monde du tra­vail, une forte journée de mobil­i­sa­tion, de man­i­fes­ta­tions et d’expressions reven­dica­tives pour : faire enten­dre les pri­or­ités sociales et les préoc­cu­pa­tions des salariés, des deman­deurs d’emploi, des jeunes et des retraités, en France et en Europe ; exprimer la défense des droits fon­da­men­taux et des lib­ertés partout dans le monde ; faire reculer la xéno­pho­bie, le racisme et l’antisémitisme. » En mars 2011, les syn­di­cats CFDT, CGT, FSU, SOLIDAIRES, UNSA font une déc­la­ra­tion com­mune inti­t­ulée « La préférence nationale n’est pas com­pat­i­ble avec le syn­di­cal­isme ! » : « La sit­u­a­tion sociale est grave : 5 mil­lions de deman­deurs d’emploi, 8 mil­lions de français vivant sous le seuil de pau­vreté (…) Dans ce con­texte, les organ­i­sa­tions syn­di­cales, ne peu­vent rester indif­férentes à l’utilisation de la sit­u­a­tion sociale pour pro­mou­voir cer­taines thès­es dans le débat pub­lic comme le fait le Front nation­al. La thèse de la préférence nationale est antin­o­mique avec les valeurs fon­da­men­tales du syn­di­cal­isme. L’exclusion, le rejet de l’autre, le repli de la France sur elle-même et la fer­me­ture des fron­tières, la désig­na­tion de boucs émis­saires, la dénon­ci­a­tion de l’immigration comme respon­s­able de tous les maux sont des atti­tudes qui, l’histoire en témoigne, ne peu­vent con­duire qu’au pire. (…) Les organ­i­sa­tions syn­di­cales sont déter­minées à empêch­er l’instrumentalisation du syn­di­cal­isme par le Front nation­al qui n’est pas un par­ti comme les autres et dont les ori­en­ta­tions sont à l’opposé des valeurs qu’elles por­tent. Les organ­i­sa­tions syn­di­cales sont aus­si garantes du respect de ces valeurs au sein de leurs organ­i­sa­tions et par leurs mil­i­tants. »

Ils ont dit

Dia­logue à l’occasion d’un duplex sur i>Télé le 20 févri­er 2012. Marine Le Pen en direct de Lille : « Je vois que les petits cha­tons que vous êtes con­tin­u­ent de courir après les baballes qu’il (Jean-Marie Le Pen) vous lance. Ça prou­ve que les choses ne changent jamais vrai­ment ». Marc Fau­velle sur le plateau : « La baballe est un poète qui a été fusil­lé pour col­lab­o­ra­tion avec les Alle­mands, mer­ci à vous ». Marine Le Pen : « C’est trop facile de ter­min­er comme ça, deman­dez à Nico­las Sarkozy quel est son livre de chevet, je crois que c’est Céline ».

Philippe Chaf­fan­jon, directeur de France Info : « Pourquoi aller chercher ailleurs des tal­ents que nous avons en interne ? »

« Mau­vais et antipathique », « le binôme (avec Léa Salamé) est en par­faite osmose… aus­si pré­ten­tieux l’un que l’autre (…) », trop de mise en scène de leurs pro­pres per­son­nes et un manque de sim­plic­ité que je trou­ve regret­table… » « con et pré­ten­tieux », « ça suf­fit ! trop nul, trop pré­ten­tieux. Com­ment s’en débar­rass­er ? », « Insup­port­able petit-bour­geois de « l’esprit Canal » qui se prend sans doute pour quelqu’un de sub­ver­sif alors qu’il n’est qu’un ani­ma­teur qui fait le tapin pour l’oligarchie politi­co-finan­cière », com­men­taires anonymes parus sur le site top.journaliste.com, un site de nota­tion des journalistes.

« Lomis­sion jour­nal­is­tique, qui est aus­si un par­ti pris, saggrave encore lorsque lon écoute le jour­nal de 8h du lende­main, le 6 juin. Dans cette édi­tion en effet, deux min­utes sur seize revi­en­nent sur la vis­ite de Netanya­hou а Paris, intro­duite en ces ter­mes par Nico­las Demor­and : « Un peu de cul­ture et beau­coup de diplo­matie au menu de la vis­ite de Ben­jamin Netanya­hou en France. » Marc Fau­velle, а qui il donne la réplique, enchaîne sur un sujet réus­sis­sant lexploit de pass­er а nou­veau sous silence les man­i­fes­ta­tions organ­isées la veille partout en France, cen­trant plutôt le sujet sur les actions BDS en ver­sant dans lamal­game le plus crasse : assim­i­l­er, а la faveur dune con­struc­tion pour le moins dou­teuse, la cri­tique dIsraël а de lanti­sémitisme. », Medi­a­part, 08/06/2018.

« Marc est un ancien de fran­ce­in­fo, qui est allé grandir ailleurs, et qui est devenu l’une des grandes voix de l’information. Il est riche d’une expéri­ence radio-télé qui va lui per­me­t­tre de porter haut les couleurs du média glob­al Fran­ce­in­fo », Vin­cent Giret, directeur de France Info, Téléobs, 18/06/2018.

« Ensuite, le chiffre de « 85% » de salariés action­naires est une inven­tion de la part de Marc Fau­velle, dont on se demande s’il com­prend lui-même ce qu’il racon­te. Quant à utilis­er ces chiffres pour inter­rompre Ruf­fin lorsque ce dernier évoque la redis­tri­b­u­tion des div­i­den­des de Total – en sug­gérant que les salariés, « pre­mier action­naire », présideraient aux des­tinées de l’entreprise et empocheraient la majorité des béné­fices –, ce serait une vaste blague si, à la radio, dans la bouche de l’intervieweur, elle ne rel­e­vait pas de la pure dés­in­for­ma­tion », Acrimed, 21/02/2023.

« Durant ces échanges, nous lui avons indiqué […] que nous dis­po­sions de remon­tées attes­tant d’un “com­porte­ment rugueux”, de pris­es de parole autori­taires, voire bru­tales, de sa part, et nous avons tous été témoins, à cer­tains moments, de ce com­porte­ment par­fois lim­ite. Nous ne con­te­stons pas les qual­ités pro­fes­sion­nelles de Marc Fau­velle qui est un pili­er incon­testable de la mati­nale de France Info, mais nous ne souhaitons pas être manip­ulés ni instru­men­tal­isés », SDJ de Fran­ce­in­fo, cour­riel interne cité dans Téléra­ma, 12/05/2023.

« Vous ne trou­verez per­son­ne pour dire que Marc a un car­ac­tère facile, il ne met pas tou­jours les formes dans ce qu’il veut dire […]. Il ne laisse rien pass­er édi­to­ri­ale­ment. La direc­tion admet qu’elle a dû par­fois le recadr­er parce qu’il par­le mal aux gens. Mais ce n’est pas le seul à la rédac­tion », une jour­nal­iste anonyme de Fran­ce­in­fo, Ibid.

Crédit pho­to : Twitter@Marcfauvelle

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