Ojim.fr
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Stéphane Kenech

1 mars 2023

Temps de lecture : 13 minutes
Accueil | Portraits | Stéphane Kenech
Accueil | Portraits | Stéphane Kenech

Stéphane Kenech

Temps de lecture : 13 minutes

Syrie, Irak et l’épineuse question des sources

Stéphane Kenech, ou l’histoire d’un journaliste d’images rêvant de s’accomplir dans le reportage de guerre et d’investigation. Dans cette vocation en devenir, il se passionne pour la Syrie au travers de deux causes : le retour des djihadistes en France et la lutte contre le régime syrien. Parfois au risque d’y oublier la déontologie et de mettre en danger ceux qui lui font confiance.

Formation

Stéphane Kenech étudie à l’u­ni­ver­sité catholique de Lille de 2004 à 2008 en licence Médias Cul­ture et Com­mu­ni­ca­tion. Il entre ensuite à l’ESEC, Ecole Supérieure d’Etudes Cinématographiques.

Carrière professionnelle

Entré en tant que sta­giaire chez Ego Doc, il y fait ses class­es pen­dant qua­tre ans : il y occupe les postes de directeur de pro­duc­tion et rédac­teur en chef.

La société Ego Pro­duc­tion a crée le départe­ment Ego Doc en 2010, avec pour spé­cial­ité des « doc­u­men­taires de cul­ture et de ciné­ma ». Depuis 2013, la société développe des « sujets de société, de décou­verte, de géopoli­tique, d’histoire et d’économie » et assure « apporter notre pierre à la con­struc­tion de la société de demain en faisant des films engagés, soucieux d’initiatives pos­i­tives, de por­traits de per­son­nal­ités fortes, de con­vic­tions et d’enthousiasme. Notre sec­onde exi­gence : la néces­sité des regards, des par­tis pris. Cha­cun de nos films existe grâce au regard sin­guli­er d’un auteur. » (2)

On trou­ve sur le site de la société un flo­rilège de doc­u­men­taires « engagés » sur des thèmes chers à une par­tie de la gauche, tels les dif­fi­cultés des minorités dites de couleur : la France « société mul­ti­cul­turelle de fait, depuis longtemps » qui peine à inté­gr­er comé­di­ens et réal­isa­teurs noirs dans le monde du ciné­ma ; et de nom­breuses séries de qual­ité vari­able faisant des familles décom­posées et recom­posées leur sujet de prédilection.

La mai­son mère de cette société de pro­duc­tion est le fonds Medi­awan, le groupe audio­vi­suel géant créé par Xavier Niel, Pierre-Antoine Cap­ton et Matthieu Pigasse. Le mil­liar­daire social­iste et mil­i­tant homo­sex­uel Pierre Bergé en était le prési­dent du con­seil de sur­veil­lance. (3)

En 2012, Stéphane Kenech pige et réalise quelques vidéos pour la chaîne russe Per­vei Kanal. Sou­vent accusée d’entretenir la pro­pa­gande du gou­verne­ment russe, la chaîne est détenue à 51% par l’Etat, le reste par deux oli­gar­ques proches de Vladimir Poutine.

En 2014, Stéphane Kenech est briève­ment réal­isa­teur pour « Un oeil sur la planète » (France 2), puis reporter cam­era­man chez France 24 et BEW Média.

Depuis 2015, n’ayant plus de rédac­tion attitrée, il se présente comme GRI (Grand Reporter d’Images) indépendant.

Brésil, Colom­bie, États-Unis, Cana­da mais aus­si Niger, Mau­ri­tanie, Nigéria ou encore Irak, Syrie ou Iran : il par­ticipe à de courts reportages de deux à quinze min­utes sur des sujets allants des Jeux olympiques au tourisme, en pas­sant par le célèbre « Burn­ing Man » améri­cain, qu’il expose sur un site con­sacré à ses réal­i­sa­tions. (5)

Kenech veut devenir reporter de guerre et son pas­sage en Irak, durant le con­flit con­tre l’Etat Islamique, ren­force sa nou­velle voca­tion. Il s’installe avec d’autres jour­nal­istes français dans le quarti­er d’Ankawa à Erbil, cap­i­tale du Kur­dis­tan irakien. C’est depuis cette zone à l’é­cart des com­bats qu’il se pas­sionne pour deux sujets : le con­flit syrien et le sort des dji­hadistes français détenus en Irak.

À côté de ses nou­velles envies, il mène par­al­lèle­ment des activ­ités de gérant d’un Riad de luxe à Marrakech.

Faits notoires

Iran

En 2015, un reportage de Stéphane Kenech avec Emmanuel Ost­ian et Chloé Davant est récom­pen­sé du Prix ESJ/LILLE-FIGRA dans la caté­gorie Com­péti­tion inter­na­tion­al, moins de 40 min­utes. (4)

Inti­t­ulé « Rêves par­tis », ce doc­u­men­taire s’intéresse à une jeunesse irani­enne qui brave le régime des Mol­lah et la loi islamique pour organ­is­er des fêtes clan­des­tines à base de musique élec­tro, alcool et drogues.

En vision­nant cette vidéo, on ne peut que s’émouvoir de la résis­tance pas­sive menée par ces jeunes Iraniens au risque de leur vie. Une cer­taine gêne demeure alors que ces résis­tants appa­rais­sent à vis­age décou­vert, non flouté, durant l’intégralité de la vidéo, tan­dis que la voix off explique : « S’ils étaient pris, ces jeunes fêtards clan­des­tins fini­raient immé­di­ate­ment der­rière les bar­reaux » […] « cer­taines pra­tiques pour­raient même leur coûter la vie ».

Mal­gré leur courage, on sent que ces jeunes red­outent des fuites éventuelles de la part des jour­nal­istes à qui ils ouvrent leur intim­ité. La voix off ajoute : « devant notre caméra, ni alcool ni drogue, pour­tant ils en consomment ».

Après la dif­fu­sion du reportage, le témoin prin­ci­pal sera arrêté, enfer­mé et con­damné en pre­mière instance à 23 années de prison et 273 coups de fou­ets. Kenech recevra un prix en France.

Con­tac­té par l’O­JIM, Arshad (le prénom a été changé) nous explique que non seule­ment l’auteur de ces images, Stéphane Kenech, n’aurait, d’après lui « à aucun moment fait preuve d’éthique lors de son reportage », mais qu’il aurait claire­ment mis tout le groupe « en dan­ger de mort ».

À l’époque, Arshad tenait une mai­son d’hôtes dont Kenech emprun­ta les toi­lettes en atten­dant un bus pour Téhéran. Après une dis­cus­sion autour de « rave par­ty » organ­isées par le jeune iranien, le reporter tient son sujet.

Il demande à Arshad la per­mis­sion de l’ac­com­pa­g­n­er durant l’une de ces fêtes sévère­ment punie par les Gar­di­ens de la révo­lu­tion. Le reporter com­mence à filmer et pho­togra­phi­er sans plus de pré­cau­tion et sans souci du droit à l’im­age, que les témoins ne font pas immé­di­ate­ment val­oir. Après quelques jours avec le groupe et faisant face à quelques inter­ro­ga­tions, il aurait affir­mé selon Arshad, qu’il « fil­mait dans le cadre d’un pro­jet universitaire ».

Dans le cadre de ce pro­jet imag­i­naire, Kenech demandait régulière­ment aux jeunes fêtards de répéter les blagues qu’ils fai­saient hors champ, alors qu’ils étaient sous l’emprise de pro­duits éthyliques et stupé­fi­ants. Tou­jours sans floutage ni mesure de pro­tec­tion pour ses témoins.

Au moment de son départ, Kenech com­mence à abor­der l’éventualité d’une dif­fu­sion télévisée. Il fait par­venir à Arshad le lien du reportage une semaine avant la dif­fu­sion. Ce dernier est sous le choc et demande plusieurs mod­i­fi­ca­tions ain­si que le floutage de tous les vis­ages. Mais Kenech répond qu’il est trop tard, tout est déjà prêt à paraître.

Après une inter­pel­la­tion mus­clée à domi­cile, Arshad est enfer­mé dans une prison à l’isolement durant 48 jours puis con­damné à une lourde peine en pre­mière instance. Après avoir fait appel et obtenu une « déshon­o­rante » inter­ven­tion de son père, qui a servi en tant que gar­di­en de la révo­lu­tion, il fera « seule­ment » un an de prison sur les cinq prévus par sa sen­tence et devra pay­er une forte amende en lieu et place des coups de fou­et. Ses amis seront eux aus­si con­damnés mais à des peines moins lour­des. Arshad et sa famille sont aujourd’hui des parias dans leur vil­lage et son activ­ité pro­fes­sion­nelle per­son­nelle dans le tourisme est grave­ment pénalisée.

A pos­te­ri­ori le jeune reporter se fend d’une pub­li­ca­tion Face­book des­tinée à noy­er le pois­son : « Il y a 5 ans, j’ai fait la ren­con­tre d’une bande de jeunes iraniens avec une énergie sans lim­ite […] Avec leur accord, on a fait un reportage […] Mal­gré nos pré­cau­tions (sic), le régime religieux iranien a arrêté deux d’entre eux. […] Aujourd’hui j’ai appris avec beau­coup de joie qu’ils con­tin­u­ent de vagabon­der […] comme quoi, on peut priv­er le temps de quelques mois un souf­fle de lib­erté en empris­on­nant, mais lorsqu’elle est aus­si présente chez ce groupe d’amis, elle ne cesse de per­dur­er et de s’intensifier. ».

En réal­ité, les jeunes Iraniens sont qua­tre à s’être fait arrêter et pas deux. Et il n’y a évidem­ment aucun « vagabondage » ou « souf­fle de lib­erté » pour ces mal­heureux : sim­ple­ment l’en­vie de se recon­stru­ire dis­crète­ment après que ce reportage ait détru­it leur vie. Tan­dis que ses témoins croupis­saient en cel­lule, le jour­nal­iste se présen­tait en tant que réal­isa­teur de doc­u­men­taires dans des soirées parisi­ennes. (6)

Bataclan et Syrie

Comme Stéphane Kenech le racon­te lui-même volon­tiers, sa com­pagne Inès Daïf a été vic­time des ter­ror­istes du Bat­a­clan : elle était sur l’une des ter­rass­es qui fut mitrail­lée par les islamistes. C’est avec elle qu’il signe dans Médi­a­part, en octo­bre 2019, un long papi­er sur le sort des dji­hadistes con­damnés à mort en Irak : « Paris mon­tre une inquié­tante tolérance face aux con­damna­tions à mort de ses ressor­tis­sants ». (7)

Grâce à sa com­pagne, le cam­era­man est passé de l’autre côté de sa caméra. Ce qui lui per­met de sign­er épisodique­ment dans Le Parisien, Paris Match, France Cul­ture.

Dès son retour, il se fend d’une série de tweets accu­sant l’écrivain-voyageur Patrice Franceschi de l’avoir fait séquestr­er par une mil­ice armée au Kur­dis­tan de Syrie !

Sur Twit­ter, Stéphane Kenech s’attaque au directeur-adjoint de Paris Match (le jour­nal­iste Régis Le Som­mi­er) qui lui a per­mis de pub­li­er dans le plus grand heb­do­madaire français sur le retour des dji­hadistes. La rai­son : ce dernier a effec­tué un reportage en Syrie en zone « gou­verne­men­tale » et a don­né la parole au prési­dent syrien. Cela suf­fit pour en faire un sup­pôt du « régime ».

L’univers des ONG

Tou­jours en col­lab­o­ra­tion avec sa com­pagne qui, elle, signe occa­sion­nelle­ment dans Le Figaro et Medi­a­part des arti­cles sur le Moyen-Ori­ent, Kenech affirme partout qu’il a désor­mais entre­pris de réalis­er, pour ces deux médias, un arti­cle sur l’ONG SOS Chré­tiens d’Orient. Les dirigeants du Figaro affir­ment n’avoir jamais enten­du par­ler de lui.

Con­cer­nant SOS Chré­tiens d’Ori­ent, Kenech a méthodique­ment con­tac­té l’en­tourage de l’as­so­ci­a­tion en assur­ant cha­cun de sa totale dis­cré­tion (comme peu­vent en témoign­er ses amis iraniens empris­on­nés) et de sa par­faite objec­tiv­ité, voire d’une cer­taine bienveillance.
Le cour­riel qu’il a adressé à L’Obs pour ven­dre son sujet, et que nous avons pu nous pro­cur­er, ne sem­ble pas cor­re­spon­dre à ces intentions :

« Nous aime­ri­ons vous pro­pos­er une enquête de plusieurs mois sur les dérives de l’ONG française “SOS Chré­tiens d’Orient” et les liens financiers entre celle-ci et des proches de Bachar El Assad », avec, en prime, des infor­ma­tions qui auraient été col­lec­tées en Irak et en Syrie côté régime !

Pour bâtir son dossier, Kenech a con­tac­té un grand nom­bre d’anciens bénév­oles et salariés de l’association, pour con­stru­ire son sujet, un dossier à charge sur SOS Chré­tiens d’Orient.

Les copies d’écran qui nous ont été com­mu­niquées se situent toutes entre 18h et minu­it. C’est aus­si le cas des enreg­istrement vocaux four­nis par l’association au cours desquels le GRI, n’ayant pas tous ses moyens, har­cèle la respon­s­able des rela­tions presse et le directeur des opérations.

Ces enreg­istrements lunaires con­ti­en­nent un mélange de bruits de bouteilles, de bafouille­ments poten­tielle­ment éthyliques, d’in­sultes et d’at­taques ad hominem.

Le 27 févri­er 2020, alors que qua­tre mem­bres de l’association ont été kid­nap­pés un mois plus tôt par un groupe irakien, Kenech appelle. Il témoigne de sa sol­i­dar­ité avec l’as­so­ci­a­tion « en tant qu’être humain ». Depuis le début de l’af­faire, il a trans­mis des infor­ma­tions sur les otages, évo­quant notam­ment un groupe irakien qui les détiendrait et don­nant un luxe de détail invérifiables.

Ce soir-là, le jour­nal­iste assure, de source cer­taine (qu’il refuse de citer), que non seule­ment les otages ont été pris par une per­son­nal­ité chré­ti­enne syri­enne et son fils, mais qu’en plus, ils ont été assas­s­inés. La libéra­tion des otages un mois plus tard démon­tre que l’enquêteur soit a inven­té soit a exploité des infor­ma­tions non vérifiées.

Son arti­cle refusé par plusieurs rédac­tions, comme avec Patrick Fran­sceschi, comme avec Régis Le Som­mi­er, faute de jour­nal il se rabat sur ses réseaux soci­aux et pub­lie des bons de lev­ée de fonds tron­qués de SOS Chré­tiens d’Orient. L’ob­jec­tif pour­rait être d’ac­cuser l’ONG de financer une mil­ice syrienne.

Dans les faits, l’as­so­ci­a­tion vient en aide aux habi­tants du vil­lage chré­tien de Mhard­eh, qui a subi, durant six ans, les attaques du Front al-Nos­ra (Al Qai­da en Syrie). Cette réal­ité est assumée par l’as­so­ci­a­tion. Le mon­tage sem­ble vouloir insin­uer que SOS Chré­tiens d’Ori­ent sou­tient non pas les habi­tants, mais bien les forces armées qui pro­tè­gent le vil­lage ; une sorte de col­lu­sion avec le régime. Pour cela, il pub­lie par­tielle­ment un coupon réponse ne faisant appa­raitre que le bas d’un treil­lis pris sur une pho­to d’ensemble du vil­lage chré­tien. Le tout assor­ti d’un com­men­taire accu­sant explicite­ment l’association de financer des mil­ices. Ce qui lui a valu une plainte pour diffama­tion encore à l’enquête par les autorités en France.

En fin d’année 2020, trois jour­nal­istes de Medi­a­part (Ari­ane Lavrilleux, Élie Guck­ert et Franck Andrews) avec lesquels Kenech plan­chait sur cette enquête via un parte­nar­i­at passé entre le média et Jour­nal­ism­Fund Europe, cessent uni­latérale­ment leur col­lab­o­ra­tion. Selon Arrêts sur Image, le trio de jour­nal­istes aurait douté de la fia­bil­ité des infor­ma­tions délivrées depuis le Proche-Ori­ent par Kenech et son acolyte. Aus­si, ce dernier ne va pas tarder à reprocher aux deux con­frères de pub­li­er des infor­ma­tions obtenues par lui sans son accord et sans être cité ni rémunéré. Devant l’absence de réac­tion de la part de la rédac­tion de Medi­a­part, il attaque la rédac­tion en jus­tice et se tourne doré­na­vant vers des médias inter­na­tionaux, comme New Lines, pour faire part de ses investigations.

Selon ses dires, le cab­i­net d’avocats défen­dant Medi­a­part lui aurait pro­posé, quelques jours avant l’audience finale en juin 2022, un pro­to­cole d’accord prévoy­ant que le jour­nal­iste soit rémunéré et que sa sig­na­ture soit apposée en bas de l’article en ques­tion. Medi­a­part refusera finale­ment de sign­er ce pro­to­cole et d’admettre son « erreur ».

Ukraine

À l’annonce de la guerre rus­so-ukraini­enne, Kenech prend son balu­chon et délaisse le Proche-Ori­ent pour se ren­dre sur le ter­rain. En effet, il entame une col­lab­o­ra­tion avec Les Jours pour lequel il cou­vre les évène­ments, et par­ti­c­ulière­ment les réper­cus­sions de la guerre sur les pop­u­la­tions civiles en tant qu’envoyé spé­cial sur les lieux entre mars et avril 2022. Par­al­lèle­ment, il signe des arti­cles sur le même thème pour le quo­ti­di­en québé­cois Le Devoir.

Parcours militant

Non ren­seigné.

Sa nébuleuse

  • Médi­a­part
  • Sa com­pagne Inès Daïf

Ce qu’il gagne

Non ren­seigné.

Il l’a dit

« Le jour­nal­isme m’intéressait, mais je préférais m’orienter vers l’image, racon­ter des his­toires » (1)

« Le risque, c’est que je pou­vais me faire arrêter et empris­on­ner parce que le risque là-bas en Iran mal­heureuse­ment c’est que si on tourne sans autori­sa­tion on est con­sid­éré comme espi­on, du coup ça empêche cer­tains jour­nal­istes d’y aller, car c’est un risque dont il faut être con­scient. Mais j’étais jeune et fou. » (1)

« J’ai tou­jours été un peu rebelle, et je cherche à pour­suiv­re cette chose là dans ma pro­fes­sion » (1)

Au sujet d’Elie Guck­ert : « Ces per­son­nes dis­ent com­bat­tre lextrême droite mais utilisent les mêmes méth­odes de calom­nies et de pres­sions. Le juge des prudhommes dis­pose par exem­ple des con­ver­sa­tions où lon entend Guck­ert proférait des men­aces en échanges de sources. Où est l’éthique ? », Twit­ter, 04/10/2022.

« Bon­jour @CNEWS, illus­tr­er les pro­pos dune asso­ci­a­tion présente en zone con­trôlée par Damas avec des images de la Défense civile syri­enne qui vient en aide aux vic­times après des bom­barde­ments des forces de Bachar El Assad et Pou­tine, cest de lama­teurisme ou de la pro­pa­gande ? », Twit­ter, 12/02/2023.

Notes

(1) https://www.youtube.com/watch?v=8JDSW36NNWU
(2) ego-productions.com
(3) ojim.fr/pigasse-lazard-niel-free-capton-3eme-oeil-nouveaux-czars-des-contenus-via-mediawan/
(4) figra.fr/archives-figra‑2/programme-2015/competition-internationale-moins-de-40-min-2015/reves-partis/
(5) stephanekenech.wixsite.com/journalist
(6) saywho.fr/ja/mondains/stephane-kenech/#lg=1&slide=2(7) https://www.mediapart.fr/journal/international/241019/irak-paris-montre-une-inquietante-tolerance-face-aux-condamnations-mort-de-ses-ressortissants

Stéphane Kenech, con­tac­té par cour­riel, n’a pas répon­du à nos questions.

Illus­tra­tion : cap­ture d’écran vidéo Médi­aL­ab — Uni­ver­sité Catholique de Lille

Derniers articles

Voir aussi