Lors des épisodes de canicule de ce début juillet 2015, une mode nouvelle s’est emparée de certaines banlieues de l’immigration : l’ouverture sauvage des bouches à incendie réservées aux pompiers.
Les banlieues françaises se mettent ainsi à l’école des États-Unis où ce phénomène est bien connu dès que la température monte. Vendredi 3 juillet plus de 300 bouches à incendie ont été vandalisées en Seine-Saint-Denis (source Le Parisien). À Aubervilliers certains « jeunes » ont même rempli des piscines sauvages dans la rue en utilisant l’eau. Le phénomène s’est répété à Asnières, Lille, Roubaix, Tourcoing, Bobigny (où un enfant a été blessé), Bron, Dijon, Nanterre.
De nombreuses photos ont circulé sur les réseaux sociaux montrant les ébats de « jeunes « en très grande majorité issus de l’immigration et pratiquement tous des garçons sabotant les installations et s’ébattant joyeusement.
L’Express, pour illustrer le phénomène, publie le 5 juillet une photo… de trois jeunes femmes européennes s’aspergeant pour se rafraîchir. Une telle distance entre la réalité sociologique et sa représentation ne porte qu’un nom: la manipulation.