Interrogée par le magazine Technikart, la blonde chroniqueuse de « Touche pas à mon poste », Enora Malagré, a évoqué son passé de « délinquante » et de jeune fille « rebelle ».
Selon ses dires, la jeune femme à la langue bien pendue, surtout quand il s’agit de surenchérir dans le politiquement correct, aurait fait partie d’une bande de voyous appelée AK78, qui « semait la terreur » à Saint-Quentin-en-Yvelines.
« J’étais trop délinquante, trop rebelle, pas très maligne. Je suis passée à côté de mes études. J’ai multiplié les “grosses conneries”, genre brûler des voitures, taguer partout, frapper des gens. Genre mauvais souvenir. Pathétique. C’est vraiment pas une fierté », a‑t-elle notamment déclaré.
Des révélations étonnantes qui tranchent avec l’image très « papier glacé » de l’ex-étudiante en droit, spécialiste de la mode, et compagne du comédien/réalisateur Gianni Giardinelli.
Crédit photo : capture d’écran vidéo Europe 1 via Youtube (DR)