Emmanuel Macron veut faire de la France un « poids lourd démographique » en Europe, suivant les conseils de son mentor, Jacques Attali, et ceux du haut-commissaire au plan, François Bayrou.
Il organise pour cela une immigration extra-européenne massive, indépendamment de toute considération culturelle et des difficultés d’intégration. Mais comme nous l’apprennent certains articles parus récemment, le choc des civilisations revient parfois en boomerang. Les cultures ont des pesanteurs que la raison de nos dirigeants ignore. Dans les médias de grand chemin, ce sont parfois les avocats des délinquants étrangers qui sont là pour nous le rappeler à leur corps défendant.
La nuit du nouvel an 2015 à Cologne : la cécité du clergé médiatique mise à nu
A la fin de l’année 2015, le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre, des milliers d’individus « d’origines arabes ou nord-africaine », ainsi qualifiés par les autorités, ont agressé sexuellement de nombreuses jeunes Allemandes de souche. La revue de presse faite alors par l’Observatoire du journalisme mettait en lumière que certains journalistes aux ordres continuent d’appliquer les directives idéologiques de Bruxelles et préfèrent la négation du réel à l’implacable constat d’une politique suicidaire.
Plus récemment, nous évoquions la véritable omerta au Royaume-Uni concernant les très nombreux viols de femmes blanches de milieu populaire commis par des agresseurs « asiatiques », terme utilisé outre-Manche pour désigner des Pakistanais.
Mais le réel revient parfois en boomerang. Dans les articles dont nous faisons une revue de presse, ce sont souvent les avocats de délinquants extra-européens qui décrivent le fossé culturel avec le pays d’accueil et les autochtones. Dans ces affaires sorties pour une fois de la discrétion des prétoires, la culture de l’excuse et le droit à la différence sont employés pour tenter d’excuser l’inexcusable…
Indispensables codes culturels
Tout homme sensé estime de bonne foi que l’étranger qui arrive dans notre pays doit faire des efforts pour s’adapter et respecter nos us et coutumes. Ce raisonnement de bon sens ne semble malheureusement pas partagé par tout le monde.
Fin 2015, un jeune « réfugié » d’origine bangladaise violait une lycéenne de 15 ans à Saint-Lô, dans le département de la Manche. Selon un article paru dans La Manche libre, l’avocate du violeur a invoqué au procès des difficultés d’interprétation de son client qui « n’avait pas les codes culturels » pour prendre conscience qu’il imposait une relation par crainte ou par surprise.
Le quotidien régional mentionne le témoignage du capitaine de police de la sûreté départementale de Saint-Lô : « Lors de l’audition de l’accusé en garde à vue, il a dû placer un brigadier entre l’interprète et le mis en cause car ce dernier tentait de lui peloter les cuisses. Selon lui, l’accusé “considère les femmes françaises comme des p****, il a un comportement de prédateur». Les experts décrivent quant à eux le migrant comme empreint de la culture masculine de son pays d’origine où «les femmes sont reléguées au statut d’objet sexuel ».
L’avocat de la plaignante a indiqué au Figaro après le jugement acquittant le prévenu du grief de viol que « les jurés ont estimé que l’auteur n’avait pas pris conscience de l’absence de consentement de la victime au moment des faits ». L’affaire a fait grand bruit, en particulier dans les réseaux sociaux, pour ensuite retomber dans l’oubli.
Le fossé culturel, ce sont les avocats qui en parlent le mieux
En août 2018, un Afghan a violé un adolescent âgé de douze ans, dans une maison abandonnée située dans le centre-ville de Saint-Brieuc.
Le Télégramme nous apprend dans un article du 28 juin que « l’avocat général Grégory Martin-Dit-Neuville a évoqué la « Bacha Bazi, une pratique consistant à transformer de jeunes garçons en esclaves sexuels, tout en précisant qu’« une coutume n’est pas une loi ».
Pour l’avocat du jeune Afghan, il faut « tenir compte du gradient culturel », car « on est tous le produit de normes, d’une histoire. Et lui est né à cent kilomètres de Kaboul. On ne sait pas ce que c’est ».
Les juges n’ont pas été sensibles à ces arguments : ils ont condamné le prévenu déjà connu pour des faits similaires à une peine de prison de quinze ans de prison.
Un migrant syrien jugé pour viol victime du « choc culturel »
En novembre 2019, un migrant syrien était jugé pour le viol d’une jeune femme à Poitiers l’année précédente, nous apprend The Epoch Times. La formatrice en français du migrant a souhaité trouver des circonstances atténuantes à celui « dont le profil génétique a été retrouvé dans la culotte de la victime » : « Un grand enfant qui voit des femmes partout. Il n’en a pas l’habitude chez lui, c’est un choc culturel ». Le site d’information nous apprend que Mohamad a été condamné à trois ans de prison dont un an avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans. Il court dans les rues.
Un prédateur sexuel « propulsé d’un village du fin fond de l’Atlas à Paris »
Abdellah O. est un Marocain de 35 ans. Il s’est livré il y a quelques années à Paris à de curieux loisirs : « le prévenu était boulanger, et s’attaquait à des femmes brunes, seules, en jupe, peu avant l’aube », selon Le Parisien cité par le site d’information Bladi.net.
Le quotidien régional ne précise pas si cette attirance pour des femmes portant une jupe relève du fétichisme ou du fait que pour certains hommes venus de quelque part, une femme qui porte une jupe est une racoleuse. Il a été inculpé pour deux viols et deux tentatives de viol qu’il aurait commis entre mai 2012 et juin 2013 dans le nord de Paris. Le jugement a été rendu le 5 mars 2021. Reconnu coupable d’un viol et d’une agression sexuelle, son avocat semble avoir présenté un argument de choc lors de sa plaidoirie : « les jurés ont bien compris qui était mon client. Loin du cliché du prédateur, c’était un homme perdu, propulsé d’un village du fin fond de l’Atlas à Paris ».
« Un homme profondément dangereux sur sa conception des relations hommes-femmes »
À Metz, un demandeur d’asile guinéen âgé de 20 ans était jugé lundi 18 novembre 2019 pour des violences et agression sexuelle à l’encontre d’une femme de 68 ans, nous apprend Le Républicain Lorrain dans un article publié le lendemain. Cette fois-ci, ce n’est pas l’avocat qui invoque comme circonstances atténuantes le choc culturel. Le ministère public a estimé lors du procès que « c’est un homme profondément dangereux sur sa conception des relations hommes-femmes ». Nous n’en saurons pas plus sur la dimension culturelle et l’origine géographique de cette « conception ». Le prévenu a été condamné à trois ans de prison, avec mandat de dépôt et interdiction du territoire national pendant cinq ans.
Viols à répétition en Grèce
Dans un article paru le 28 juin, News.In.24 nous informe de faits particulièrement scabreux : alors qu’elle se faisait violer par un migrant afghan à Athènes le 23 juin, une jeune femme enceinte de trois mois a appelé à l’aide. Les trois Pakistanais qui passaient par là n’ont non seulement pas porté secours à la jeune femme, mais ils l’ont conduit dans un appartement pour la violer.
Leur procès n’ayant pas eu lieu, les arguments de la défense des personnes poursuivies pour le viol ne sont pas encore connus. Bien isolé, le site indien Kreately souligne toutefois dans un article détaillé et argumenté que des passages du Coran peuvent expliquer certains passages à l’acte. Le journaliste conclut en soulignant : « quiconque pointe ces faits sera qualifié de raciste et d’islamophobe et sera en conséquence ignoré ». Sauf peut-être certains avocats ?