C’est peut-être le début de la fin pour ce qui reste du groupe Hersant. Les titres de Philippe Hersant déjà plombés par une dette bancaire supérieure à 200 millions d’euros sont dirigés par un administrateur judiciaire qui serait tente de vendre le groupe par « appartements ». Des titres prestigieux comme La Provence, Nice-Matin, L’Union pourraient passer aux mains de concurrents de la PQR. Il ne reste que peu de choses du groupe de feu Robert Hersant un temps propriétaire du Figaro et tenté par la télévision avec Berlusconi. Consolation, le titre France Antilles ne semble pas à vendre.
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