Le 27 avril, Nina Jankowicz a été nommée à la tête du Conseil de la gouvernance de la désinformation (Disinformation Governance Board), nouvellement crée et rattaché au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis, lui-même crée en 2002 par le très controversé Homeland Security Act (« Loi sur la sécurité intérieure »).
1984
Le roman 1984 de George Orwell, publié en 1949, dépeint une société dystopique où un régime totalitaire surveille et contrôle chaque aspect de la vie. Le protagoniste Winston Smith lutte contre l’oppression du Parti et son leader, Big Brother, symbolisant la perte de liberté et l’aliénation de l’individu. Les références à 1984 dans les sociétés occidentales évoquent souvent la surveillance de masse, la manipulation de l’information et la suppression des libertés individuelles, critiquant ainsi les dérives potentielles des gouvernements et des entreprises dans la gestion de la vie privée et des données personnelles.
Voir aussi : Censure, Totalitarisme, GAFAM, Données personnelles
Twitter et Tinder réinventent « l’arrêt du crime » d’Orwell
Nous traduisons partiellement et commentons un article d’Axios, un média d’Amazon, une synthèse parfaite de la pensée libérale libertaire américaine, du 22 mai 2021.
Une adaptation cinéma de 1984 de George Orwell
Qui n’a pas encore lu 1984 d’Orwell ? De préférence dans l’ancienne traduction de Gallimard, bien plus fidèle que la nouvelle. Le premier film reprenant la base du livre date de 1953 et est en lecture libre sur YouTube.
La haine en ligne, piranhas et dictature des minorités
« L’amour c’est la haine », ce slogan de 1984 d’Orwell résonne d’une étrange actualité à l’heure où les réseaux sociaux censurent au nom de la liberté d’expression et où une loi liberticide veut soi-disant lutter contre la haine.