La revue mythique du grand écran, Les Cahiers du cinéma, existe depuis 1951. Créée par Lo Duca, Doniol-Valcroze et André Bazin, elle succédait à la Revue du cinéma de Jean Auriol disparue deux ans auparavant. Godard, Truffaut, Rohmer, Chabrol et d’autres représentants de la nouvelle vague y ont écrit leurs premières critiques.
L’Express rétrécit de plus en plus
172 salariés moins 58 journalistes déjà partis ou ayant signés leur départ, moins encore 13 qui ont signé à la mi-novembre 2019, égale, égale ? On ne sait plus car certains partants sont encore en place. On le sait d’autant moins que Alain Weill veut encore (source Lettre A du 26 novembre 2019) la peau fraîchement tannée de 49 salariés en trop.
France Soir disparaît et L’Express est réduit de moitié
Sale temps pour les journalistes. Déjà le rachat des titres français du groupe Mondadori/Berlusconi par le groupe Reworld avait fait des dégâts. C’est au tour de France Soir de couler tandis que L’Express divise sa rédaction par deux avant sans doute de passer au tout digital, abandonnant le papier dans un avenir non déterminé mais qui semble proche.
Alain Weill rachète L’Express pour un euro symbolique
Patrick Drahi en a eu assez de remplir le tonneau des Danaïdes. Après les lourdes pertes de Libération et L’Express en 2018, il cède pour un euro symbolique le titre à Alain Weill, chef de file des médias d’Altice/SFR qui rachète à titre personnel.
Combat de boxe, Free/Niel contre Altice/Drahi/Weill, autour des droits de diffusion
À ma gauche Xavier Niel, actionnaire principal de Free, du Monde et d’une ribambelle d’autres médias. De l’autre côté du ring Patrick Drahi, chef d’Altice est l’entraîneur d’Alain Weill patron de BFM (du groupe Altice de Drahi) et nouveau propriétaire de L’Express. En jeu les accords de distribution de BFM sur Free.
Le Point, pas si bien pas si mal
Au milieu de la morosité des hebdomadaires généralistes le journal de François Pinault tire mieux que les autres son épingle du jeu. Alors que L’Express vient d’être racheté pour un euro symbolique par Alain Weill et que L’Obs se prépare à un nouveau plan social, Le Point est en meilleur état que ses confrères sans écarter toute difficulté pour l’avenir.
SFR presse de Patrick Drahi s’enfonce, plus de 24M€ de pertes pour Libération et L’Express en 2018
Dès son arrivée en 2016 à la tête de SFR médias Alain Weill avait laissé entendre que son attachement à la formule papier n’était pas éternel. En mars 2018, il avait mis les points sur les i en annonçant la priorité absolue au digital. Les mauvais résultats financiers de Libération et L’Express en 2018 pourraient signifier l’abandon du papier pour les deux titres.
L’Express de Patrick Drahi en souffrance, Guillaume Dubois écarté
Alors que l’action d’Altice, la maison mère de L’Express, tombe en capilotade chutant de 93% en trois ans, l’hebdomadaire généraliste du groupe Altice traverse une nouvelle crise.
L’Étudiant change de mains
Marc Laufer via sa société CMG avait récupéré un certain nombre des titres acquis par Patrick Drahi via Altice/SFR. Parmi ces titres, le plus intéressant ou en tout cas le plus rentable est L’Etudiant, en passe d’être racheté par l’organisateur de salons Comexposium.
Altice écope d’une amende de 124 millions d’euros au Portugal
L’empire de Patrick Drahi, l’homme de la fortune du câble, commence à vaciller. Assis sur une dette colossale – plus de cinquante milliards d’euros -, Patrick Drahi a construit son groupe à marches forcées avec le soutien des banques et sans doute de discrets mais efficaces coups de pouce politiques en France comme en Israël ou aux États-Unis. Mais les difficultés de SFR, dont les fournisseurs comme les employés ont été passés à la paille de fer, l’échec de la politique de convergence des contenus inquiètent les prêteurs.
Altice et SFR en difficulté : fin du papier pour Libération et L’Express
Le méga groupe de Patrick Drahi s’est développé sur une dette faramineuse qui n’a pu être obtenue qu’à travers de multiples soutiens, financiers et politiques. Cette expansion à marche forcée s’est construite sur une dette colossale dépassant les 54 milliards d’euros fin 2017.
L’Express : pourquoi Christophe Barbier a été éjecté
Le dévissage de la diffusion qui, par voie de conséquence, a entraîné les recettes publicitaires vers le bas, est la cause principale de désaveu de Christophe Barbier. L'homme à l'écharpe rouge brille plus sur les plateaux de télévision qu'en tant que patron de...