Les événements de ces derniers jours suggèrent que le journalisme britannique – le soi-disant quatrième pouvoir – n’est pas tout à fait ce qu’il prétend être, à l’opposé même du rôle de vigie que l’on pourrait en attendre.
Les événements de ces derniers jours suggèrent que le journalisme britannique – le soi-disant quatrième pouvoir – n’est pas tout à fait ce qu’il prétend être, à l’opposé même du rôle de vigie que l’on pourrait en attendre.