Le 16 avril 2024, Philippe Coopman mourait dans une agression sauvage, tué par deux mineurs. Le 27 avril, c’était le tour de Matisse. Et cette fois encore, certains médias se sont dépêchés de salir sa mémoire pour éviter que les Français ne remettent en cause l’accueil quasi-inconditionnel de l’immigration.
Meurtre à Grande-Synthe : itinéraire d’une fake news
Les Français ont pris la triste habitude qu’un drame en chasse un autre. Le 16 avril 2024, Philippe Coopman a été sauvagement agressé et tué à Grande-Synthe par trois personnes dont deux mineurs de 14 et 15 ans. Avec un traitement médiatique particulier, qui en dit long sur la façon dont les médias abordent l’insécurité en France. Mention spéciale pour Le Parisien qui se distingue dans la désinformation.
Patrick Cohen rattrapé par l’ARCOM : non les assassins de Crépol n’étaient pas venus pour « s’amuser et draguer des filles »
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023, à Crépol, une quinzaine d’individus armés de couteaux font irruption dans la salle communale, assassinent Thomas, jeune lycéen, et blessent 16 autres personnes. Un énième “fait divers” meurtrier traité par-dessus la jambe par le journaliste de France 5.
Retour sur Crépol et les médias, Askolovitch et Schneidermann
Nous avons déjà évoqué le francocide de Crépol qui a vu la mort du jeune Thomas minimisée ou déformée par les médias. Nous avons aussi parlé de Patrick Cohen défendant implicitement les meurtriers ou renversant l’accusation. Nous revenons sur deux confrères de Patrick Cohen qui le défendent à demi-mot voire un peu plus.
Le Parisien sur le drame de Crépol
Le drame de Crépol est un accélérateur. Il permet, à qui en doutait encore, de voir l’existence de deux France.
Meurtre de Thomas à Crépol, un message de Claude Chollet
La tragédie du village de Crépol qui a vu des délinquants venus d’un quartier des banlieues de l’immigration attaquer un bal de campagne émeut, scandalise, interpelle.
Crépol : les prénoms interdits et les médias
Pour les journaux mainstream, si des Français et Européens comme Thomas se font massacrer par des coups de couteaux, l’origine des auteurs n’est pas importante, tandis que lorsqu’il s’agit de l’attaque de Mourad au cutter, il devient crucial de rappeler que son auteur est Yannick, un Français “de souche”.