Les Décodeurs du Monde, ces prétendus experts jamais à cours d’énergie quand il s’agit de plier le réel à l’idéologie politiquement correcte, nous ont gratifié d’un énième bobard.
Un dossier lamentable du Canard enchaîné sur les infox
Infox, fake news, ère de la post-vérité (si je mens), bombardements de propagandes diverses, inflations publicitaires, nous sommes submergés d’informations, vraies ou fausses. De quoi faire un bon dossier. Celui du Canard, « Infos et usage de faux », est lamentablement raté ou orienté.
Fact checkers ou désinformateurs ? Trois questions à Jean-Yves Le Gallou
« Il n’y a pas d’objectivité possible car tout article, tout reportage, tout documentaire est anglé : il analyse les faits depuis un point de vue. » Jean-Yves Le Gallou répond aux questions de l’Ojim sur le “fact checking”.
Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Deuxième partie
Aujourd’hui plus que jamais la vérification d’information, aussi appelée « fact checking » a le vent en poupe. Les journalistes et médias dispensent leurs vérités ou ce qu’ils estiment telles, sous l’ombre protectrice des multinationales américaines. Deuxième partie.
Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie
Aujourd’hui plus que jamais la vérification d’information, aussi appelée « fact checking » a le vent en poupe. Les journalistes et médias dispensent leurs vérités ou ce qu’ils estiment telles, sous l’ombre protectrice des multinationales américaines.
Samuel Laurent et le monstre Twitter
Samuel Laurent, journaliste au Monde, est le co-fondateur des Décodeurs et du Decodex. Nous n’avons pas toujours été tendres avec lui ; eh bien son livre est excellent, passionnant, très informé, même si – les mauvaises habitudes sont les plus tenaces à perdre – le prisme libéral-libertaire reste parfois prégnant.
Coronavirus, bobards gouvernementaux et “fact checking”
Face à l’épidémie de coronavirus, les autorités communiquent abondamment et finissent par dire tout et son contraire. Qu’en disent les traqueurs de « fake news », Checknews de Libération, le fact-checking par l’AFP et Les Décodeurs du Monde ?
Coronavirus : si le complotisme m’était conté… Chapitre énième
Il n’aura pas fallu longtemps pour que les théories du complot pullulent, il en aura fallu encore moins pour s’écrier au complotisme et mettre dans le même sac à peu près l’intégralité de tout ce qui s’apparente à de la pensée qui se veut critique…
Quand les Décodeurs du Monde veulent s’en prendre à Finkielkraut… mais lui donnent finalement raison
Le 3 février 2020, Alain Finkielkraut a commenté sur LCI, l’incarcération en cours de Patrick Balkany et a dénoncé un “acharnement” envers ce dernier. Il a aussi tenu ces propos : “Jamais personne n’est allé en prison pour fraude fiscale.” Déclaration qui lui a valu un article des Décodeurs du Monde, censés dénoncer les “fake news” mais eux-mêmes habitués à en diffuser. Comme l’avait prouvé leur condamnation pour diffamation, que vous pouvez retrouver ici dans un de nos articles récents.
Les Décodeurs décodés : condamnation de Samuel Laurent et du Monde pour diffamation
Vous connaissez les Décodeurs, financés par Google, et animés jusqu’il y a peu par Samuel Laurent. Samuel Laurent et son employeur Le Monde viennent d’être condamnés pour diffamation envers Olivier Berruyer, animateur du site Les Crises.
Facebook News tab, nouvelle menace pour les éditeurs
Vous connaissiez Instant articles de Facebook, le Libra de Facebook, Dating de Facebook, Instagram de Facebook, WhatsApp de Facebook, vous saviez que Facebook finance Check News de Libération (comme Google a financé le Decodex du Monde), le monde journalistique célèbre en cette automne 2019 la naissance de Facebook News tab.
Les journalistes contre Google ? Tout contre
Le 24 octobre 2019, la France est le premier pays de l’UE à appliquer une directive européenne sur le « droit voisin ». En clair la presse devait recevoir une rémunération pour les contenus qu’elle produit et qui sont diffusés sur Google, Facebook et autres. À ceci près que Google a envoyé paître éditeurs et politiques français. Plus de 900 journalistes et éditeurs ont signé une pétition de protestation. Se gardant bien de dire que d’un autre côté ils quémandent l’aide de Google qui les subventionne en toute opacité. Contre Google en effet, vraiment tout contre.