X (ex-Twitter) et Telegram résistent encore à peu près aux demandes de contrôle et de censure (mais le second commence à céder). Ce qui leur vaut une haine qui n’a rien de cordiale de la part des médias de grand chemin.
Digital Services Act (DSA)
Le Digital Services Act (DSA) est un règlement européen publié en octobre 2022 dont le but est de diminuer la diffusion de contenus illégaux et d’instaurer plus de transparence entre les plateformes en ligne et leurs utilisateurs. Cinq grands points ont été abordés par le DSA : 1. protéger les consommateurs vis-à-vis des marchandises dangereuses et des contenus illicites ; 2. lutter contre le cyberharcèlement ; 3. Limiter la publicité ciblée ; 4. aider à comprendre et à contester les décisions en matière de modération de contenu ; 5. simplifier les conditions générales des grandes plateformes en ligne.
Voir aussi : Digital Markets Act (DMA), GAFAM, Union européenne
Été 2024 : Elon Musk versus Thierry Breton, 1 à 0, le match continue
Thierry Breton veut la peau de X. Cette hargne date du rachat du réseau social par Elon Musk et a été confirmée par une tentative de censure pour influencer les élections américaines. Sans succès et avec un effet boomerang.
DSA contre Twitter “X”, le match continue
Depuis son rachat par Elon Musk, il est rare de voir un mois passer sans que Twitter soit au cœur d’une polémique. Voici un nouvel épisode de ce feuilleton avec l’entrée en vigueur, le 25 août 2023, du Digital Service Act.
Digital Services Act : l’UE veut imposer ses normes et sa vision du monde à sens unique
Le Digital Services Act est rentré en vigueur le vendredi 25 août 2023. Nous republions notre analyse sur le DSA, un instrument de plus au service de la limitation des libertés privées et publiques.
Conférence de Claude Chollet au Parlement européen
Le 9 mai 2023, le Président de l’Observatoire du journalisme (Ojim) planchait devant une partie des députés européens à Strasbourg.
Le futur de Twitter selon Elon Musk
Les chacals craignent pour leur peau, dit une chanson militaire. Les chacals, c’est une métaphore, ce sont les nombreux ennemis des libertés qui souhaitent voir échouer Elon Musk dans la réorganisation de Twitter après son rachat mouvementé.
Twitter au centre du « recalibrage » de la liberté d’expression par les démocraties libérales
Si l’Australie en pointe dans les restrictions des libertés, l’Union européenne n’est pas en reste.
Bras de fer entre Elon Musk et la Commission européenne autour de la censure
À mon extrême-centre, Thierry Breton commissaire européen. À ma droite ou à ma gauche on ne sait pas, mais partisan d’une plus grande liberté d’expression, Elon Musk que l’on ne présente plus.
Twitter déjà sous le regard de censure du Digital Services Act (DSA)
Dans la lignée du RGPD, ce nouveau règlement vise en théorie à s’attaquer aux défis posés par les géants d’Internet, à commencer par les GAFAM. Mais son objectif réel et plus concret est de « lutter contre la haine » et de renforcer la régulation (comprenez censure) des réseaux sociaux.
Bruxelles veut légiférer pour la liberté des médias… ou le contraire
EMFA ? Ensemble le Mouvement Féministe de l’Avenir, Espérance la Mutuelle Française des Anciens ? Vous n’y êtes pas du tout, c’est le European Media Freedom Act (en anglais de Bruxelles) qui prétend lutter pour le pluralisme des médias, tout en annonçant le contraire.
L’Arcom se félicite de son action, et pourtant…
Arcom, comme Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique. La nouvelle autorité née début 2022 — de la fusion du CSA et d’Hadopi — régule entre autres les temps de parole avant et pendant les élections et se félicite de son action dans un entretien au Figaro.
Censures : la Loi Avia revient par la fenêtre !
L’élection présidentielle de 2022 approchant à grands pas, les mesures de censure ou de pré-censure s’accumulent. Après la commission Bronner, après Viginum, la loi Avia — retoquée par le Conseil Constitutionnel — revient sous le couvert de la loi sur le séparatisme (sic).