Il était arrivé à la tête de Libération en 2020 : Dov Alfon présentait le 3 octobre 2024 son « plan stratégique » pour le quotidien.
Dov Alfon
Un journaliste ancien des services de renseignement israéliens ? C’est à Libération que vous le trouverez et comme directeur de la rédaction ! Cela valait un portrait piquant en vidéo.
Nicolas et Dov sur France Inter
Nicolas, c’est Nicolas Demorand – ancien de Libération — sur France Inter. Dov, c’est Dov Alfon rédacteur en chef du même Libération qui dispose de son rond de serviette sur le 7/10 de Demorand/Salamé.
Libération : des sous, des sous !
Petite annonce virtuelle : quotidien libéral libertaire, cherche d’urgence entre 10 et 20M€ pour sa survie. S’adresser à Dov Alfon, Libération. Urgent. Pas sérieux s’abstenir.
Le franco-israélien Dov Alfon (Libération) n’aura pas de carte de presse
Pour bénéficier d’une carte de presse et des avantages (plutôt modestes) qui y sont liés il faut que l’activité principale du candidat soit liée à une action strictement journalistique, Dov Alfon, rédacteur en chef de Libération, vient de se la voir refusée, à notre avis indûment.
La pseudo-indépendance de Libération
Le quotidien libéral libertaire Libération se gargarise de qualificatifs flatteurs : libre, indépendant, depuis qu’il est passé sous la garde d’une « fondation », mais qu’en est-il exactement ?
Le Libération de Dov Alfon ? Un quotidien militant qui croit que la police « casse la République »
Dans son édition du mercredi 25 novembre 2020, Libération faisait sa couverture sur le démantèlement du camp de migrants monté à la hâte place de la République à Paris. Une couverture et un traitement à la mode 6 février 1934, comme si la France menait une politique « fasciste » contre les migrants. Lecture.
Le P’tit Libé, c’est fini !
Depuis (ou avec) le départ de Laurent Joffrin, rien ne va plus chez Libération, Patrick Drahi ne veut plus investir à fonds perdus, un nouveau rédacteur chef est arrivé, Dov Alfon, ancien des services de renseignements israéliens.
Libération : Dov Alfon, ancien des services de renseignements israéliens, nouveau rédacteur en chef
Alors que le quotidien vogue sur l’esquif d’une Fondation pour la presse, financée et contrôlée par Patrick Drahi, Laurent Joffrin parti pour les délices de la politique électorale est remplacé par un franco-israélien ancien membre des services de renseignement de l’armée, l’unité d’élite 8200.