Comme nous l’avions anticipé, aux États-Unis l’opération de néantisation de l’opposition populaire poursuit sa route. Qui a vu aux temps jadis le film Wag the Dog (Des hommes d’influence avec Robert de Niro et Dustin Hoffman) comprendra que persiste la technique consistant à utiliser scénaristes et metteurs en scène pour inventer de fausses crises médiatiques en vue de maintenir le pouvoir en place. Aujourd’hui encore, la queue remue le chien et non le contraire, comme dans le film et la vie politique américaine entre en phase de purgation, appuyée sur la narration de la tentative de « coup d’État » de Donald Trump. Et pendant que Trump, balourd du traquenard, s’empêtrait dans son 6 janvier devenu 6 février, l’establishment réinventait sa version soft de l’incendie du Reichstag.
Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Deuxième partie
Aujourd’hui plus que jamais la vérification d’information, aussi appelée « fact checking » a le vent en poupe. Les journalistes et médias dispensent leurs vérités ou ce qu’ils estiment telles, sous l’ombre protectrice des multinationales américaines. Deuxième partie.
Qui sont les « Décodeurs » ? Entre GAFAM, argent et influence. Première partie
Aujourd’hui plus que jamais la vérification d’information, aussi appelée « fact checking » a le vent en poupe. Les journalistes et médias dispensent leurs vérités ou ce qu’ils estiment telles, sous l’ombre protectrice des multinationales américaines.
Reporters sans frontières demande plus de censures sur Facebook
RSF se veut l’apôtre d’un bon combat, celui de la liberté d’informer. Mais son comportement dans les faits est à l’exact contraire et quand RSF porte plainte contre Facebook en France ce n’est pas pour protester contre la censure mais pour la réclamer.
Julie Lavet, une autre LREM, rejoint les GAFA
Les conseillers politiques LREM (mais pas seulement) ont un goût particulier pour les délices des GAFAM et de l’imperium américain. Après que Alice Garza, conseillère LREM au Sénat, ait rejoint Twitter, c’est Julie Lavet qui rejoint Apple France.
État profond ? Ben Nimmo, cadre de l’OTAN, rejoint Facebook
Comme le proclament les complotistes de l’anti-complotisme, style Rudy Reichsdadt, l’État profond américain n’a jamais existé, n’existe pas, n’existera jamais. Le fait que Facebook recrute un ancien de l’OTAN doit être une preuve de plus de cette non existence…
Trump attaque Twitter, Facebook et Google au nom du premier amendement
Le premier amendement de la Constitution américaine stipule, entre autres, qu’aucune loi ne peut s’opposer à la liberté de religion, d’expression ou de la presse. Au nom de ces libertés, Donald Trump, suspendu des différents réseaux sociaux (Twitter, Facebook, YouTube de Google), annonce poursuivre ceux-ci en justice.
WhatsApp en difficulté bat sa coulpe
L’application de messagerie WhatsApp, devenue filiale de Facebook, a vu son image écornée après son annonce de partager les informations de ses utilisateurs avec la maison mère de Mark Zuckerberg.
Facebook, entre censure et infantilisation
On le sait, l’entreprise de Mark Zuckerberg est depuis longtemps à la pointe du combat contre la « haine en ligne ».
Censure de certains hommes politiques par Facebook ? Le Monde ne s’inquiète pas
En janvier 2021, alors que Donald Trump était toujours président des États-Unis, Facebook et Twitter fermaient ses comptes. Le président des États-Unis aurait favorisé une « tentative de coup d’État » quand des émeutiers ont envahi le Capitole. Facebook a confirmé la suspension. Qu’en pense Le Monde ? Du bien.
Facebook, maintenant les robots censeurs
Facebook se félicite des progrès de son nouveau robot censeur. Le contrôle quasi-total de la liberté d’expression qu’octroyait internet est enfin à portée de main. Encore un petit effort pour achever de faire taire les rebelles de la pensée unique.
Equality Act : les GAFA et l’industrie médiatique soutiennent Joe Biden
Initialement, les entreprises avaient pour but premier de gagner de l’argent, désormais, elles passent aussi une grande partie de leur temps à verser dans les pseudo bons sentiments, ce qui n’empêche pas les bonnes affaires.