Les journalistes aiment les jeunes, enfin on peut le supposer. De manière étrange (ou au contraire, trop explicable), cette affection n’est pas partagée. Analyse d’un rapport récent sous l’égide de Reuters et de l’université d’Oxford.
Les journalistes aiment les jeunes, enfin on peut le supposer. De manière étrange (ou au contraire, trop explicable), cette affection n’est pas partagée. Analyse d’un rapport récent sous l’égide de Reuters et de l’université d’Oxford.