Le 10 mai 2022, un homme était poignardé devant un collège à Marseille. Quelques jours plus tard, le 27 mai, il décédait de ses blessures. En dépit de sa revendication islamiste, cette agression a été classée dans la catégorie « Faits divers » par plusieurs médias.
MeToo, mais pas pour Thaïs d’Escufon dans les médias dominants
C’est après que des actrices, des célébrités, ou des femmes politiques, aient témoigné avoir été victimes de harcèlement et d’agressions sexuelles d’Harvey Weinstein, un producteur de cinéma hollywoodien réputé, que naquit le mouvement « MeToo ». Mais lorsque d’autres femmes témoignent des mêmes faits perpétrés par des personnes issues de l’immigration, les faits sont passés sous silence. Un deux poids deux mesures de nouveau mis en lumière par l’affaire Thaïs.
Comme à Reims, une agression sauvage mais très discrète à Bordeaux
Nous vous parlions le 5 mars de l’agression d’un photo-reporter par un clandestin algérien à Reims ; allons le jour précédent cette tentative de meurtre, dans le sud-ouest, à Bordeaux. C’est une agression particulièrement sauvage dont ont été victimes deux étudiants à Bordeaux le 27 février 2021. Une fois de plus, la couverture médiatique de cet évènement a brillé par ses silences éloquents et le manque de contextualisation.
Le Figaro, Le Monde et les faits divers, quand l’information fait peur aux journalistes
Le Figaro a récemment modifié son pôle consacré aux faits divers. Depuis le 11 janvier 2021 ces derniers prennent plus de place sur leur site internet. À la surprise du reste de la rédaction, 4 journalistes titulaires ainsi qu’un jeune en contrat de professionnalisation ont été embauchés spécialement pour ce service.
Réseaux sociaux : quart d’heure de gloire communautariste
On prête à l’artiste américain Andy Warhol d’avoir dit que chacun allait avoir droit dans vie à un quart d’heure de gloire. L’avènement du smartphone et des réseaux sociaux permet de concrétiser cette prédiction, parfois pour le meilleur, souvent pour le pire.
Coronavirus : les dealers à l’heure du confinement
Dans les « quartiers » les dealers ne respectent pas le confinement. Dans une France à l’arrêt les « jeunes » (les guillemets sont indispensables) poursuivent le trafic tant bien que mal, et les témoignages médiatiques sont désormais abondants.