La Suisse, son franc solide, ses montagnes, son yodel, le gruyère qui n’a pas de trous, le chocolat (surfait), le fendant (bien agréable) et aussi sa presse et la lutte entre les grands groupes de presse, car étrangement on gagne de l’argent dans la presse en Helvétie.
L’immigration clandestine redouble en Europe malgré la crise du Covid-19, silence gêné des médias. Première partie
Les médias de grand chemin rivalisent de paraphrases et autres formules euphémisantes pour éviter de présenter le deux poids deux mesures imposé aux populations européennes : d’un côté des mesures strictes de restriction des déplacements des Européens, de l’autre, un aller simple de nombreux extra-Européens pour l’Europe. Revue de presse.
Le Temps (Suisse) change de mains mais reste libéral mondialiste
Quel est le journal qui a remporté le titre envieux de l’article le plus ridicule de 2018 ? Sous la signature d’Eleonore Sulzer qui à l’époque y était rédactrice en chef adjointe ? C’est Le Temps, le quotidien francophone de Genève dont la boussole indique toujours le sud au lieu du nord. Une valeur sûre qui change de mains mais pas de destin.
Greta Thunberg, prophétesse de l’apocalypse et icône des médias
La jeune militante suédoise contre le réchauffement climatique est un véritable phénomène médiatique. Alors qu’en mai 2018, sa notoriété ne dépassait pas sa classe d’école à l’occasion d’un concours d’écriture sur le climat, la voilà propulsée au rang d’icône internationale de la défense de la planète. Si Greta Thunberg vient d’être désignée personnalité de l’année par le magazine Time, bien peu de médias soulignent la démarche affairiste de son entourage et ses engagements politiques.
Ursula von der Leyen et le “mode de vie européen”, des médias pas contents
Ursula von der Leyen, nouvelle présidente de la Commission européenne, a dévoilé mardi 10 septembre, la composition de sa Commission et les nouveaux intitulés des postes de chaque commissaire.
Conformisme : au royaume de Nicolas Dufour, du quotidien suisse Le Temps, les faux borgnes sont rois
Nous avons déjà parlé du quotidien suisse Le Temps, une sorte de Monde helvétique en plus bêta. Le quotidien était déjà candidat au titre envié d’article le plus ridicule de 2018. Notre excellent confrère Antipresse parlait déjà en 2016 de presstitution pour le qualifier. Nous empruntons de nouveau à l’Antipresse un papier du 15 août 2019 consacré à la « Une » du journal sur les évènements de Hong Kong.
New York Times, fini de rire !
Nous vous parlions hier 12 juin 2019 des justifications de la censure sous couvert de protection des bonnes mœurs et de respect de la morale dominante. Où et comment une journaliste du quotidien suisse romand Le Temps appelait elle-même de ses vœux un régime « normal » de censure. Le quotidien américain le New York Times va un cran plus loin en annonçant qu’il ne publiera plus de caricatures dans aucune de ses éditions.
Éloge de la censure et du crétin suisse
Il n’y a aucune raison que le crétinisme soit réservé à une nation. Grande nation peut produire petits crétins dit un proverbe (inventé). Mais une « petite » nation (par petite nous entendons par la taille, pas par le prestige) peut engendrer de grands crétins, de sexes divers. Nous devons à l’Antipresse l’exhumation d’un article du quotidien suisse Le Temps du 30 janvier 2018 sous la signature de Julie Rambal, sous le titre « On ne peut plus rien dire , vraiment ? », qui est un fleuron du genre. Et où la journaliste se convainc gentiment de l’aspect salutaire de la censure. Visite des lieux.
Candidat au titre de l’article le plus ridicule de 2018, le quotidien suisse Le Temps et les migrants
Aimez vous les poncifs ? Les lieux communs ? L’entre soi bien confortable mais moralement (à première vue) irréprochable ? Le confort intellectuel dont a si bien parlé Marcel Aymé ? Vous devez absolument lire Éléonore Sulzer, rédactrice en chef adjointe du Temps, premier quotidien francophone suisse ainsi que ses deux reporters, bons candidats pour le titre envié d’article le plus ridicule de la presse francophone, édition 2018.
Le quotidien Le Matin du groupe suisse Tamedia dans la tourmente
La presse suisse est dominée par deux grands groupes alémaniques. Ringier dont nous soulignions la bonne santé quasi insolente et Tamedia (Le Matin, 20 minutes, Berner Zeitung, Finanz und Wirtschaft, Tagblatt der Stadt Zürich, Tages-Anzeiger et bien d’autres). Tamedia semble en moins bonne santé, en retard relatif dans le numérique par rapport à son concurrent.
Avis de tempête sur les médias suisses
Longtemps les médias suisses ont été à l’abri des remous des différents secteurs de l’information en Europe, protégés par un système plutôt décentralisé et par le multi-linguisme. Même critiqués pour être dans certains cas le miroir de l’empire du Bien, même si la section locale de Reporters Sans Frontières militait ouvertement pour la censure, les journalistes suisses coulaient des jours (plus ou moins) heureux. Plus maintenant.
RSF pratique la censure en Suisse… et s’en félicite
Le Club Suisse de la Presse a voulu organiser une conférence sur les liens entre les « Casques blancs » syriens et les mouvances djihadistes. On aurait pu croire que la branche locale de Reporters Sans Frontières allait encourager une telle initiative allant dans le sens de l’investigation. Que nenni !