Son sort rappelle un peu celui de notre général de gendarmerie Bertrand Soubelet, sanctionné et poussé vers la sortie après la publication de son livre « Tout ce qu’il ne faut pas dire » en 2016. À cette différence près que le général italien Roberto Vannacci ne se livre pas, au contraire de ce qu’avait fait le général français Bertrand Soubelet, à une critique des politiques menées par les autorités de son pays.