Sous prétexte d’anti-racisme, au milieu des génuflexions, des repentances, des larmes, des excuses, des soupirs, des prosternations, les têtes tombent, toutes blanches.
Thomas, la victime blanche qui n’intéresse pas les médias
Pour quelle raison un fait divers plutôt qu’un autre est-il monté en épingle dans les médias ? Probablement parce qu’un certain nombre de conditions sont réunies.
De l’influence médiatique sur le monde scolaire en Amérique. Deuxième partie
Nous poursuivons notre enquête sur la façon dont le New York Times, haut lieu de la diffusion de la pensée mondialiste, influence l’éducation. Ses rubriques contiennent des pages spécifiquement consacrées à l’éducation et destinées tant aux enseignants qu’aux élèves. Description.
De l’influence médiatique sur le monde scolaire en Amérique. Première partie
Les conceptions sur l’éducation des enfants et adolescents par le biais des médias proposent une vision du monde à sens unique, celle des idéologues mondialistes. L’OJIM a déjà donné des exemples en France sur la façon dont l’Éducation nationale et les médias unissent leurs efforts afin que nos chères petites têtes blondes pensent comme il se doit. Qu’en est-il de l’autre côté de l’Atlantique ? Un regard en deux articles, à partir du New York Times. Première partie.
New York Times, fini de rire !
Nous vous parlions hier 12 juin 2019 des justifications de la censure sous couvert de protection des bonnes mœurs et de respect de la morale dominante. Où et comment une journaliste du quotidien suisse romand Le Temps appelait elle-même de ses vœux un régime « normal » de censure. Le quotidien américain le New York Times va un cran plus loin en annonçant qu’il ne publiera plus de caricatures dans aucune de ses éditions.
New Fake Times : la manipulation par l’exemple
La désillusion d’une jeune journaliste kosovare dans les coulisses du « meilleur journal du monde » (selon Chappatte)… Où l’on découvre par un témoignage interne que le New York Times est — sur certains sujets — une grossière et cynique entreprise de désinformation.
Une étude de l’Institut Montaigne : les grands médias français excluent certains débats hostiles à l’élite
Si aux États-Unis, le clivage gauche/droite structure les médias et leurs représentations, en France la césure se situe entre médias officiels et médias périphériques. Tel est un des enseignements d’une étude menée par le MIT américain et le Médialab de Sciences-Po pour l’Institut Montaigne.
Les médias américains à l’heure du Spygate. Seconde partie
Après le « Russiagate », arrive donc le « Spygate », ou encore « Intelgate ». Autrement dit un scandale en émergence sur une kyrielle d’abus de pouvoir potentiels d’une série de hauts et moyens fonctionnaires du Renseignement, voire du procureur Mueller lui-même, tous en appui sur les médias qui pendant deux ans ont vendu aux masses l’idée selon laquelle Trump était un traitre au service de Poutine.
Médias, russophobie et apocalypse – mode de fabrication
Les États-Unis sont en proie à l’ingérence russe. L’ennemi n’est plus aux portes. Il y a deux ans, il a franchi le pas et les pare-feux. Y compris ceux de la Maison Blanche. Le virus(se) « infecte » désormais la société américaine de l’intérieur. Propagé par les réseaux sociaux, il ravage les esprits d’électeurs indécis et de citoyens « mal informés ».
Le New York Times profite de la vague anti-Trump
C’est la très vieille histoire de la poule et de l’œuf. Qui était le premier ? Même chose pour le phénomène Trump et les médias. Celui ci est depuis deux ans la cible des médias libéraux américains et du monde. Mais il est aussi un excellent client dont les tweets ravageurs retiennent l’attention. Il est tout autant l’objet d’une campagne soigneusement orchestrée entre les services de renseignement, certains de ses anciens amis, George Soros, les démocrates, les néoconservateurs républicains et les quotidiens les plus connus tel le New York Times qui surfe sur la vague Trump tout en la combattant.
Covington : mensonges et manipulations
Le 20 janvier 2019, Le Figaro relaie, sans en changer une ligne, une dépêche Reuters datée de la veille, relatant un incident révoltant qui s’est déroulé le 18 après-midi à Washington. Un vidéo, qui prendra vite un tour viral, montre des lycéens blancs, élèves du collège catholique de Covington dans le Kentucky et venus dans la capitale pour participer à la Marche pour la Vie, revêtus qui plus est de casquettes où figure l’acronyme pro Trump MAGA (Make America Great Again), rassemblés pour conspuer un Amérindien qui frappe pacifiquement un tambour traditionnel.
Loi contre les fake news : le grand leurre qui cache une volonté générale de censure, l’avis de l’Ojim
Le terme fake news est devenu à la mode après l’élection de Trump et le Brexit. Les perdants – les partisans de Hillary Clinton, ceux du Remain et derrière eux la grande masse des médias dominants qui les soutenaient – se sont interrogés devant des défaites considérées (par eux-mêmes) comme « immorales ».