Le schéma est simple : le Forum Économique Mondial donne la direction, le président de la République Française répercute, les groupes de presse exécutent.
Le Progrès de Lyon, entre journalisme, groupe bancaire et orientation pro-Macron
La presse française est devenue une véritable poupée russe : un quotidien ou un magazine appartient à une structure regroupant plusieurs titres et elle-même contrôlée par une banque ou un milliardaire. Le quotidien Le Progrès n’échappe pas à ce schéma, il appartient au groupe Est-Bourgogne-Rhône-Alpes (EBRA) lui-même contrôlé par le Crédit mutuel Alliance Fédérale. Devant cet état de fait, les lecteurs sont en droit de savoir qui écrit les articles : un journaliste attaché à la recherche de la vérité ou un salarié de la branche information d’un groupe bancaire ?