C’est entendu, l’affaire Hanouna/Boyard, prise de bec entre l’animateur et l’ancien employé de TPMP relève de l’écume médiatique, de l’anecdote. Ce qui est moins anecdotique ce sont les commentaires d’une ancienne responsable du CSA sur Libération et la prise de position de l’ARCOM.
Le naufrage de la Nupes, revue de presse
« Il n’y a plus de Nupes » a tranché Jean-Luc Mélenchon, son fondateur, lors d’une réunion publique en Charente-Maritime, enterrant officiellement l’alliance des partis de gauche.
Franceinfo aime le cirque Traoré
Interdite par la Préfecture de Paris, la marche a néanmoins été intégralement couverte par Franceinfo. Média public qui n’a d’ailleurs pas hésité à relayer en continu à cette occasion les discours de la gauche radicale.
La NUPES veut-elle la mort définitive de la presse ?
L’initiative a été lancée par le député Clémentine Autain et suivie par nombre de ses collègues de la LFI : le 11 octobre 2022, la proposition de loi visant à « mettre fin à la concentration dans les médias et l’industrie culturelle » était déposée à l’Assemblée nationale.
Derrière la polémique Boyard/Hanouna, l’offensive de LFI contre Bolloré
L’écume des choses : la polémique lancée par le député LFI Louis Boyard, ancien employé de TPMP et de Bolloré essayant de mettre en porte à faux Cyril Hanouna vis-à-vis de son employeur Vincent Bolloré. Insultes, départ piteux, cris dans les chaumières.
Législatives 2022 : une union de la gauche très populaire auprès des médias de grand chemin
Avec une habileté certaine, Jean-Luc Mélenchon conduit une stratégie qui ne doit rien au hasard. Il utilise à profit les moyens que les médias de grand chemin mettent à sa disposition avec générosité. Durant la campagne électorale des élections législatives, ceux-ci lui ont en effet donné un sacré coup de pouce.