Deux étudiants de l’ISSEP (Institut de sciences sociales, économiques et politiques), dirigé par Marion Maréchal à Lyon, ont posé le 16 avril 2019 cinq questions à Claude Chollet sur la naissance de l’Ojim, ses réflexions et ses projets. Nous reproduisons ici ses réponses.
L’OJIM emporté par le scandale de la Ligue du LOL
Chacun se souvient de l’affaire du LOL où de jeunes journalistes politiquement corrects se moquaient parfois cruellement de leurs confrères et consœurs. Une longue enquête de Check News de Libération et de Libertex de Polemia vient de mettre à jour le rôle néfaste du fondateur de l’OJIM, Claude C (nous préférons ne mettre que l’initiale du nom propre) dans une affaire proche de la ligue du LOL. L’individu a été dénoncé sur les réseaux sociaux pour ses traitements inhumains envers son personnel. Nous avons retrouvé Julie (le prénom a été changé), une stagiaire de l’Observatoire du journalisme qui nous a livré son témoignage sur les sévices qu’elle a subis de la part de ce personnage nauséabond.
Conférence de l’Observatoire du journalisme à Strasbourg
Pour nos lecteurs alsaciens, Claude Chollet Président de l’Observatoire du journalisme, animera une conférence-débat à Strasbourg le 23 février 2018 à 18h30.
Vœux de l’Observatoire du journalisme et craintes pour 2018
Les menaces qui s’annonçaient au début de 2017 se sont affirmées peu à peu tout au long de l’année. Les réseaux sociaux constituaient encore un contre pouvoir à la presse dominante généralement aux mains de pouvoirs financiers qui l’utilisent pour servir au mieux ses intérêts.
Aidez au décryptage des médias !
Il vous reste un peu moins d’une journée pour encourager notre travail de décryptage des médias et bénéficier d’un reçu fiscal de 66% de votre don au titre de l’année 2017.
Encore cinq jours pour aider l’Observatoire du journalisme
Vous le savez l’Observatoire du Journalisme est auto-financé par ses lecteurs. Nous remercions tous ceux qui ont répondu à nos appels avant les fêtes et il est encore temps pour nous aider. Cinq jours au moment où nous postons ce papier, 120 heures pour bénéficier d’un reçu fiscal de 66% de votre don au titre de l’année 2017.
Le meilleur de l’Observatoire du journalisme en 2017
Pendant les fêtes, l’Ojim fait relâche et se rallie à la trêve des confiseurs. L’occasion de vous faire revivre les grands moments de l’année 2017 du point de vue de la critique des médias.
Encore 13 jours pour aider l’Observatoire
Vous le savez l’Observatoire du journalisme est auto-financé par ses lecteurs. Nous remercions tous ceux qui ont répondu à nos appels avant les fêtes et il est encore temps pour nous aider.
Le Père Noël de l’Observatoire du journalisme
Nous avons déjà lancé la semaine dernière un appel à votre solidarité, merci à ceux qui ont déjà répondu. Pour les autres il est encore temps, il reste un peu moins de trois semaines pour bénéficier du reçu fiscal de 66% au titre de vos revenus de 2017. Si vous voulez nous revoir en 2018, vous pouvez nous aider de manière très concrète. D’avance merci.
Fêtez Noël avec l’Observatoire du journalisme !
Vous pouvez profiter de cette période de l’Avent pour conforter notre indépendance et nous aider par vos dons, vous bénéficierez d’un avantage fiscal de 66% sur vos revenus de l’année 2017. Nous comptons sur vous, à bientôt.
Refus de la publicité et du payant, le choix de l’Observatoire du journalisme
Pour se financer, un site internet dispose de plusieurs solutions. La publicité, l’accès payant, les subventions, les dons. La publicité intrusive va ensuite poursuivre le lecteur via l’enregistrement des fameux cookies. L’accès payant limite économiquement la diffusion. Le recours à des subventions publiques ou privées limite l’indépendance vis à vis de l’organisme qui subventionne. L’Observatoire du journalisme depuis cinq ans a fait le choix de l’indépendance et du financement par ses lecteurs. Depuis les longues campagnes électorales du printemps les dons se sont raréfiés pour se réduire à un mince filet qui n’assure plus notre financement.
L’Observatoire du journalisme a besoin de vous
Le politiquement correct mielleux ou fielleux s’étend sans fard sur les ondes et la presse écrite. Dans ce contexte un décryptage des médias et de ceux qui les produisent est plus que jamais nécessaire.