Le groupe d’Arnaud Lagardère présente une santé contrastée. Les pertes abyssales de l’activité autour du sport sont compensées par les succès de Hachette, de la distribution presse (Relay) et surtout du retail (boutiques aéroports et gares). Un fonds activiste s’affaire autour des comptes (partiellement opaques) du groupe, le bon moment pour faire rentrer Nicolas Sarkozy au conseil de surveillance ?