Non, les dinosaures que l’on croyait disparus lors de l’extinction du crétacé il y a presque 70 millions d’années ne sont pas morts ! La preuve : Serge July revient à Libération.
Affaire Griveaux, revue d’une presse tétanisée
Le 13 février 2020 dans la soirée, la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a été brutalement balayée. Des vidéos intimes attribuées au candidat de La République en marche circulent sur les réseaux sociaux. Ces images qui dateraient du printemps 2018, adressées à l’origine à une étudiante de 29 ans Alexandra de Taddeo, ont été mises en ligne par le compagnon de la jeune femme, l’activiste russe Piotr Pavlenski. Un homme fantasque qui se justifie par une volonté de « dénoncer l’hypocrisie » de l’ancien porte-parole du gouvernement, qui se présentait selon lui comme un homme marié et un père de famille modèle.
Libération, en route pour la fin du papier
Libération a déjà vécu plusieurs vies, du journal maoïste à la conversion à la publicité et la société marchande sous Serge July, puis la vente au capitalisme le plus débridé via les poches des Rotschild puis celles, plus profondes, de Patrick Drahi.
Luc Le Vaillant
PORTRAIT — Athée militant, ne cachant pas son goût pour les femmes, de préférence actrices, jeunes et jolies, Luc Le Vaillant défend la prostitution, la GPA, DSK, la légalisation des drogues et la liberté d’expression totale.
40 ans de Libération : des maos aux bobos
L’histoire de Libération est avant tout l’histoire d’une génération. Alors que le quotidien emblématique d’une certaine intelligentsia de gauche parisienne fête ses quarante ans, c’est l’occasion pour l’OJIM de revenir sur son histoire, laquelle résume à elle seule la...
Les patrons de la presse nationale. Tous mauvais
Jean Stern est en colère. Journaliste de grand talent et d’expérience, ayant roulé sa bosse aux Presses de la Manche, à Libération, à la Tribune, fondateur de Gai Pied, il a le sentiment de s’être fait flouer et le fait savoir dans un petit/grand livre roboratif,...
Ils ont acheté la presse, de Benjamin Dormann
Benjamin Dormann a été journaliste. Il ne l’est plus malgré sa passion pour son métier. Venant de la gauche modérée mais de conviction, il nous explique pourquoi dans un livre décapant, bien écrit, ultra documenté (plus de 800 références, quasi une thèse), fourmillant de formules bien trouvées (« la soupe aux sous, va te faire voir chez les Gracques, le festival de Kahn »), se lisant d’une traite tant la matière est – hélas – riche et bien traitée.