Ojim.fr
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
PUBLICATIONS
Yann Barthès, Dilcrah, Netflix, Frontex, Bellingcat... Découvrez les publications papier et numériques de l'Observatoire du journalisme.
→ En savoir plus
Accueil | Taranis News

Taranis News

Déontologie : quand des journalistes revendiquent leur qualité de non-journalistes

Déontologie : quand des journalistes revendiquent leur qualité de non-journalistes

La charte de Munich adop­tée en novem­bre 1971 par la Fédéra­tion européenne des jour­nal­istes pré­cise la déon­tolo­gie de la pro­fes­sion, en dix devoirs et cinq droits. Cer­tains jour­nal­istes proches de Médi­a­part vien­nent d’y pub­li­er une tri­bune (blog du 23 octo­bre 2021) où ils annon­cent gen­ti­ment s’assoir sur ses principes.

Gaspard Glanz, victime et symbole

Gaspard Glanz, victime et symbole

Libéra­tion vient de con­sacr­er un por­trait plein de com­plai­sance au pseu­do jour­nal­iste et vrai antifa Gas­pard Glanz, trop vite érigé en vic­time par les médias main­stream après son arresta­tion en marge d’une man­i­fes­ta­tion de Gilets jaunes. Ces mêmes médias main­stream qui ignorent large­ment les Gilets jaunes du rang, éborgnés, blessés, matraqués. Depuis six mois on compte déjà 2200 blessés et par­mi ceux-ci des éborgnés : de 4 (source min­istère de l’intérieur) à 17 (source le col­lec­tif mil­i­tant Désar­mons-les) et 5 mains arrachées par des grenades de désencer­clement. Dans un relatif silence médi­a­tique à l’exception du très bon tra­vail du jour­nal­iste indépen­dant David Dufresne.

Gaspard Glanz, fausse victime, faux journaliste mais vrai black bloc

Gaspard Glanz, fausse victime, faux journaliste mais vrai black bloc

Lors de l’acte XXII des gilets jaunes à Paris le 20 avril 2019, le chef de l’agence Tara­nis News Gas­pard Glanz a été arrêté place de la République puis mis en garde à vue 48 heures pour « par­tic­i­pa­tion à un groupe­ment en vue de com­met­tre des vio­lences ou des dégra­da­tions. Il com­para­î­tra en juge­ment le 18 octo­bre pour « out­rage à per­son­ne déposi­taire de l’autorité publique ». Son image de mar­tyr est écornée par ses pra­tiques con­tre ses confrères.

Quand de faux journalistes reporters font régner la terreur

Quand de faux journalistes reporters font régner la terreur

L’Ojim a déjà évoqué les pratiques mafieuses de certains JRI (Journalistes Reporters Indépendants qui captent, montent des images et les revendent aux médias) tel Gaspard Glanz fondateur de l’agence Taranis dont nous avons rappelé les habitudes qui fleurent bon le...