La charte de Munich adoptée en novembre 1971 par la Fédération européenne des journalistes précise la déontologie de la profession, en dix devoirs et cinq droits. Certains journalistes proches de Médiapart viennent d’y publier une tribune (blog du 23 octobre 2021) où ils annoncent gentiment s’assoir sur ses principes.
Gaspard Glanz, victime et symbole
Libération vient de consacrer un portrait plein de complaisance au pseudo journaliste et vrai antifa Gaspard Glanz, trop vite érigé en victime par les médias mainstream après son arrestation en marge d’une manifestation de Gilets jaunes. Ces mêmes médias mainstream qui ignorent largement les Gilets jaunes du rang, éborgnés, blessés, matraqués. Depuis six mois on compte déjà 2200 blessés et parmi ceux-ci des éborgnés : de 4 (source ministère de l’intérieur) à 17 (source le collectif militant Désarmons-les) et 5 mains arrachées par des grenades de désencerclement. Dans un relatif silence médiatique à l’exception du très bon travail du journaliste indépendant David Dufresne.
Gaspard Glanz, fausse victime, faux journaliste mais vrai black bloc
Lors de l’acte XXII des gilets jaunes à Paris le 20 avril 2019, le chef de l’agence Taranis News Gaspard Glanz a été arrêté place de la République puis mis en garde à vue 48 heures pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations. Il comparaîtra en jugement le 18 octobre pour « outrage à personne dépositaire de l’autorité publique ». Son image de martyr est écornée par ses pratiques contre ses confrères.
Quand de faux journalistes reporters font régner la terreur
L’Ojim a déjà évoqué les pratiques mafieuses de certains JRI (Journalistes Reporters Indépendants qui captent, montent des images et les revendent aux médias) tel Gaspard Glanz fondateur de l’agence Taranis dont nous avons rappelé les habitudes qui fleurent bon le...