Quand une compagnie polonaise détenue à 27% par l’État rachète un groupe de presse polonais à ses propriétaires allemands, les journaux français parlent d’une seule voix : il s’agit d’une attaque contre la liberté de la presse.
Quand une compagnie polonaise détenue à 27% par l’État rachète un groupe de presse polonais à ses propriétaires allemands, les journaux français parlent d’une seule voix : il s’agit d’une attaque contre la liberté de la presse.