Yann Barthès est une des figures de l’infotainment, une formule qui mélange sur un mode ludique information (ou plutôt désinformation) et divertissement. Il anime aujourd’hui l’émission Quotidien. Un format qui se veut incorrect, mais qui incarne le style et les valeurs d’une bourgeoisie décontractée et ricanante, championne de la dérision.
Salhia Brakhlia
PORTRAIT — Salhia Brakhlia a apporté, avec succès, les méthodes controversées du Petit Journal sur BFMTV. Le mélange détonne.
Quotidien et Yann Barthès dans le rôle du truand ?
L’émission pour adulescents Quotidien de Yann Barthès ne faisait déjà pas dans la dentelle, passant son temps à manipuler ses habitués pour qu’ils pensent selon la ligne du parti des médias convenus. Un seul numéro de Valeurs Actuelles aura suffi à abattre de mythe.
Quotidien de Yann Barthès : mensonges et dérision. Troisième partie
Le talk show de Yann Barthès, l’un des premiers de la télévision française, hisse l’infotainment au rang de messe quotidienne. Si la liturgie est hybride, le catéchisme progressiste y est martelé de manière orthodoxe, quitte à faire avaler n’importe quoi aux fidèles. Décryptage en trois parties, troisième et dernière partie.
Plus moche la vie bientôt sur Salto, une co-production Ojim
Salto et l’Observatoire du journalisme OJIM lancent conjointement ce premier jour d’avril, une nouvelle série télévisée qui fera date, Plus moche la vie.
Cyrille Eldin
PORTRAIT — Né au Chesnay, près de Versailles, en mai 1973, Cyrille Eldin est un acteur et animateur français. Il accède à la célébrité en 2016, lorsqu’il remplace Yann Barthès à la tête du « Petit Journal » sur Canal Plus.
Bobards d’Or 2020 : un prix Dupont de Ligonès pour l’ensemble de la presse
Le 24 février 2020 à Paris avait lieu dans une atmosphère bon enfant la 11ème remise des Bobards de l’année 2019, organisée par la Fondation Polémia.
Retour sur l’affaire Mila et la presse
La tuerie de Charlie Hebdo n’a qu’un lustre et pourtant paraît relever d’une autre ère. L’affaire Mila – du nom de cette adolescente lynchée pour avoir raconté dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux son aversion pour l’islam, en des termes peu amènes – est venue le prouver sans appel. La façon dont la presse française a traité cette affaire, généralement avec des pincettes ou du bout des lèvres témoigne surtout de l’affaiblissement du courage. Apparemment, nous aimons bien la liberté d’expression, à condition qu’elle ne nous coûte pas trop cher.
Quotidien de Yann Barthès : la morgue
Nos donateurs récents ont reçu un dossier complet exclusif sur l’émission Quotidien de Yann Barthès. En point d’orgue de l’enquête de Valeurs Actuelles, nous en publions la première partie. Les deux autres sont pour le moment réservées à nos soutiens.
Quotidien de Yann Barthès : mensonges et dérision. Deuxième partie
L’émission Quotidien de Yann Barthès a déjà fait l’objet d’un article « La morgue » que vous trouverez ici. Nous publions la deuxième partie, « Le vide ». L’ensemble du dossier est réservé à nos donateurs. Une excellente occasion de nous soutenir avec un reçu fiscal de 66% de votre don, vous pouvez cliquer là.
Quand Quotidien de Yann Barthès encourage le racisme anti-blanc
L’anti-racisme est le communisme du XXIème siècle a pour coutume de dire Alain Finkielkraut. Il y a parfois mieux, le racisme anti-blanc sous couvert d’anti-racisme tout court. C’est ainsi que l’écrivain américaine Neil Irvin Painter a pu le 7 février 2019 déverser son mépris des Blancs à l’antenne de l’émission Quotidien de Yann Barthès sur TF1.
Pacte sur les migrations, sur les chaînes de télévision et les radios, une obsession : débusquer les « idées fausses »
Sur TMC le 8 décembre 2018, Yann Barthès et un journaliste du « 20h Médias » opposent les sincères aux manipulateurs et manipulés. Les journalistes affirment ainsi que l’opposition au texte est « menée par l’extrême droite ». Heureusement, « les médias traditionnels tentent eux de démêler la rumeur, démêler le vrai du faux ». Le propos est appuyé par des images de journalistes de France 2 et de France Info. Le journaliste conclut que le texte « ne donne pas de nouveaux droits pour les migrants, pas de nouvelles obligations pour les États, pas de transfert de souveraineté pour les états signataires. Ça c’est l’analyse des médias, l’analyse factuelle des médias traditionnels qui ont décortiqué le texte. Mais on sait à quel point tous ces médias sérieux sont contestés ».