C’est du moins ce qu’estime l’Association de la presse étrangère (FPA) en Israël, dans un communiqué datant du 1er décembre dernier : « des soldats de l’armée israéliens [ont] visé directement un groupe de photographes qui couvraient des incidents dans le secteur de Qalandia, entre Jérusalem et Ramallah ». Des militaires israéliens auraient ainsi
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délibérément lancé « des grenades assourdissantes vers des photojournalistes appartenant à la FPA au moment où ils quittaient Qalandia ».
« Les membres de la FPA avaient levé les mains en l’air pour indiquer qu’ils quittaient les lieux et c’est à ce moment-là que des grenades ont été lancées dans leurs dos », a relaté l’association. Selon elle, « tous les photographes portaient des gilets et des casques permettant de les identifier comme tels ». Aussi, « il ne fait aucun doute que les forces israéliennes visaient directement les journalistes »… Ainsi, l’appareil d’un photographe a été détruit par une balle en caoutchouc, pendant que celui-ci prenait une photo ! « S’il n’avait pas été en train de prendre une photo à ce moment-là, il aurait pu être tué » a déclaré Marco Longari, chef du service photo de l’AFP du bureau de Jérusalem.
Bien entendu, l’armée israélienne dément tout tir volontaire et met en cause la prise de risque des journalistes. « Au cours des heurts, des photojournalistes ont été repérés à côté et au milieu des émeutiers, s’exposant eux-mêmes à des risques », a‑t-elle précisé dans un communiqué. Selon Tsahal, « la balle caoutchoutée ayant touché l’appareil du photojournaliste, qui se trouvait à proximité d’émeutiers violents, n’a pas été tirée intentionnellement vers lui ».
Selon Jeune Afrique, « la FPA a affirmé s’être plainte à une dizaine de reprises à la suite de tels incidents survenus ces deux dernières années, déplorant qu’aucune enquête sérieuse n’ait été menée ». « Pour autant que nous le sachions, il n’y a que deux enquêtes en cours, mais sans résultats. Les autres plaintes ont été ignorée », a‑t-elle expliqué.
Crédit photo : dan_halutz via Flickr (cc). Soldats de Tsahal en avril 2010 à Bil’In