Si prompts à dénoncer l’utilisation du terme « Français de souche », certains médias n’ont désormais plus que ce mot à la bouche.
La raison en est simple : il est utilisé pour souligner le profil d’origine (blanc et d’origine catholique ou athée) des Français convertis à l’islam partis faire le jihad en Syrie.
La Croix, Le Monde… n’hésitent ainsi plus à utiliser ce terme, jugé « nauséabond » il n’y a pas si longtemps, et parfois même sans utiliser de guillemets, comme l’a souligné récemment Jean-Yves Le Gallou dans l’émission « I‑Média » sur TV Libertés.
« Les médias le reconnaissent parce que là il s’agit de mettre en scène des Français de souche dans un mauvais rôle, qui est celui de terroriste », explique le fondateur de Polémia. Et s’il reconnaît une « victoire sémantique » dans l’analyse de la réalité, ce dernier n’oublie pas que cela « illustre bien la malfaisance des médias de l’oligarchie car on nie cette expression quand les Français sont des victimes ».
Pour conclure, celui-ci remarque même qu’« on n’a jamais autant utilisé le mot “Français” que pour parler de djihadistes ». Il y a des termes qui ne trompent pas…
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