Migrants, réfugiés, clandestins, envahisseurs : la guerre des mots
#Migrants, #réfugiés, clandestins, envahisseurs : la guerre des mots http://t.co/gVyAfZrY3h pic.twitter.com/y6Rp8WxnJ2
— Ojim (@ojim_france) 8 Septembre 2015
Migrants : le poids des mots…
Migrants : hébétude sentimentale et sidération par l’image
#Migrants : hébétude sentimentale et sidération par l’image, @euronews remporte la palme http://t.co/tasjS0NZxR pic.twitter.com/R33kzjj2L2
— Ojim (@ojim_france) 22 Septembre 2015
…le choc des photos.
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[PORTRAIT] Franz-Olivier Giesbert http://t.co/9NIIsrCHFm #medias pic.twitter.com/g9uB6oCavB
— Ojim (@ojim_france) 10 Décembre 2014
Voir aussi : [Portrait] Franz-Olivier Giesbert, prince mondain de la connivence tranquille
« Un journaliste ça lèche, ça lâche, puis ça lynche. » Cette phrase de Jean-François Kahn sied à merveille à Franz-Olivier Giesbert tant celui-ci aurait pu faire de cette formule une devise. Complaisant, jusque dans l’intime avec les puissants, FOG n’oublie jamais d’immortaliser ces instants sur son petit bloc note spiralé avec l’intention, le jour venu, de les consigner dans un livre assassin. Celui qui a quitté début 2014 la direction du Point a passé sa vie dans une ambiguïté toute assumée avec philosophie, jonglant entre la droite et la gauche, entre la campagne et la ville, entre les chèvres et le Siècle, entre l’indépendance et la connivence. FOG, c’est la schizophrénie réfléchie.