Outre l’existence de « communautés » tchétchène, cap-verdienne et musulmane, la France découvre que les alertes lancées depuis 50 ans, dénoncées par les médias dominants, sont une réalité : devenue multiculturelle, sur fond de recul des Européens blancs de souche, la France voit se multiplier les guerres ouvertes contre la police ainsi que des guerres inter-ethniques. Avec les récentes scènes de guérilla urbaine de Dijon, le week-end du 12 au 13 juin 2020, ce sont des armes lourdes que des étrangers ou individus d’origine étrangère, immigrés légaux ou non, sortent pour s’entretuer, sur fond de vengeance ou de conquête de territoires pour installer des trafics.
Devant la réalité d’une société multiculturelle devenue, comme cela était prévisible et annoncé, multi-conflictuelle, les médias officiels ont eu des difficultés à déterminer leur mode de réaction. Rapide revue de presse suite à quatre jours d’affrontement.
Radio et télévision ? Les exemples de Franceinfo et BFM
Sur Franceinfo, lundi 15 juin, les différents fils d’information de la matinée et de l’après-midi oscillaient entre deux types de présentation :
- Des affrontements entre la communauté tchétchène et des jeunes des quartiers, dans le cadre d’un règlement de compte. Les tchétchènes sont venus de toute la France, et même d’Europe.
- Des affrontements assimilables à une « guerre », avec des « armes lourdes », entre tchétchènes, migrants subsahariens, maghrébins et cap-verdiens.
La radio ne parle pas de personnes originaires de France. Il règne d’ailleurs une drôle d’ambiance sur les ondes, comme si les journalistes de la radio avaient du mal à croire à ce qui est diffusé.
Franceinfo admet d’un coup que la situation ethnique est incontrôlable en France et que la police n’est pas intervenue afin de ne pas mettre l’étincelle qui eut fait encore plus dégénérer la situation. Il n’est pas rappelé que François Hollande, et qu’un récent ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, avaient évoqué en leur temps l’advenue d’un séparatisme ethnique porteur de guerres civiles potentielles.
La question de la présence sur le territoire national des populations incriminées et armées devrait interpeller : ce n’est pas le cas.
Le discours de Franceinfo évolue mardi 16 et mercredi 17 juin 2020, même si l’incrédulité pointe toujours :
« Le premier face-à-face a eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi, place de la République, en plein centre-ville.. « On a vu des mouvements de foule vers 23h », se rappelle un restaurateur installé sur place. « Cela a été la surprise, on n’a pas vu les choses arriver. Sur le coup, on a pensé que c’était une manifestation anti-raciste », confie-t-il à franceinfo. Les personnes ont rapidement été dispersées par les forces de l’ordre, et le centre-ville a retrouvé son calme, rapporte-t-il. « Il n’y a pas eu de psychose surdimensionnée. » Le maire socialiste, François Rebsamen, a lui-même remarqué, alors qu’il rentrait chez lui, une centaine de personnes, certaines armées de battes de baseball et encagoulées. » Ces faits sont inacceptables et totalement inédits », a déclaré à l’AFP l’élu qui brigue un quatrième mandat. »
La radio ne fait pas le lien, pourtant évident, entre migrations, récentes comme anciennes, musulmanes, et violence ; pas plus qu’elle ne le fait avec les politiques clientélistes de nombre de villes.
D’ailleurs, dans un reportage réalisé dans le quartier des Grésilles et diffusé plusieurs fois mardi et mercredi, une femme interrogée n’hésite pas à dire que si l’État ne « défend pas les habitants », il ne doit pas oublier que ces derniers votent : les habitudes sont claires. Elle insiste étonnamment : « Nous sommes français, nous sommes civilisés ». Franceinfo explique aussi que les tchétchènes sont russes (la Tchétchénie n’étant pas un pays) et qu’ils ont été des victimes accueillies ici, tout en donnant aussi la parole au syndicat de police Alliance qui parle de « guérilla urbaine ».
Lundi 15 juin, BFM diffuse les images des scènes de violence : voitures incendiées, véhicule qui termine sa course sur le côté, battes de baseball, hommes cagoulés, tirs d’armes à feu, aucun cri en français n’est entendu, uniquement de l’arabe… Les images paraissent tournées dans un pays arabe, elles le sont à Dijon, dans le quartier des Grésilles mais aussi place de la République, en plein centre-ville. La télévision parle « d’affrontements communautaires », avant de revenir sur le déroulé chronologique des événements. Cela a commencé le 10 juin par l’agression d’un jeune tchétchène. Cela a entraîné l’expédition punitive qui a débuté le vendredi 12 juin. Dans la « ligne de mire des Tchétchènes, des dealeurs qui ont leur habitude dans le quartier des Grésilles », le tout déclenchant des « affrontements entre communauté tchétchène et communauté maghrébine ». Les jeunes des Grésilles se filment avec « des armes dont on ne sait pas si elles sont factices ou non ». À voir les Kalachnikov, et les revolvers de service ; certains sans doute volés à des policiers, il n’y a pourtant guère de doute que ce sont des armées réelles. D’autant que leurs détenteurs tirent en l’air, comme dans les pays arabes.
Dans la presse écrite ?
Le 17 juin, Le Point rend compte d’une note de la police indiquant que l’État serait conscient de l’emprise de plus en plus forte de la mafia tchétchène sur la pègre en France. Le Figaro, sans doute sans le vouloir, démontre l’impossibilité des politiques d’intégration des populations accueillies en France au titre de l’asile ou des migrations, quand elles sont de cultures extra-européennes : « Ces derniers jours, le spectacle de « patrouilles » de Tchétchènes pratiquant la loi du talion ou celui de « jeunes » de banlieue brandissant et faisant usage, en riposte, d’armes de poing et de fusils automatiques, semblait surréaliste et inquiétant. Pourtant, en ce mardi, un calme étrange flotte sur le quartier des Grésilles, qui a même des airs plutôt engageants, très loin des coupe-gorges que l’on peut découvrir ailleurs en France. Et pour cause : l’histoire du quartier est un symbole de la politique de la ville. En 2013, François Hollande, rendant visite à son ami et allié François Rebsamen, maire de Dijon et candidat à sa réélection, avait parcouru ses rues et vanté le caractère exemplaire du projet. Lors d’une réunion électorale, le maire parlait d’investissements estimés à 150 millions d’euros et soulignait que les Grésilles avait été l’un des premiers quartiers dont il s’était occupé après sa première victoire de 2001. Médiathèque, gymnase, piscine (rénovée en janvier pour 2,6 millions d’euros)… « On a fait tout ce que l’on pouvait faire pour ce quartier », avait conclu le maire-candidat. »
Une indéniable réussite au vu des armes à feu et des trafics de stupéfiants.
Pour 20 Minutes, c’est la « stratégie de maintien de l’ordre qui fait polémique », les journalistes laissant entendre, comme les habitants des Grésilles, qui sont aussi les parents des dealeurs et malfrats, que les policiers auraient laissé faire. L’anormalité ne semble pas résider dans les faits eux-mêmes. Dans Libération, il est difficile d’imaginer que les habituels prétendus descendants d’esclaves ou victimes de toutes les couleurs, sauf le blanc, puissent être coupables : on se demande donc si « les armes exhibées par les jeunes sont réelles ou factices ».
Le 16 juin, Castaner et Macron annonçaient que s’il y a des étrangers en attente du droit d’asile impliqués dans les violences, ils pourront être expulsés. Comme le vent tourne dans l’opinion publique et que le ras-le-bol vis-à-vis des politiques migratoires et victimaires, comme de l’évident remplacement en cours de la civilisation européenne, devient évident, les mots sont prononcés : cela ne mange pas de pain ; dans une semaine l’actualité sera passée à autre chose, Emmanuel Macron le sait bien. Les médias aussi, qui relaient cette « information » plutôt rapidement. Il s’agit pourtant en théorie de « toucher à mon pote ».
Le 17 juin, Marianne relate ce fait extraordinaire en France : « Dans la soirée du 16 juin, une quinzaine de représentants des communautés tchétchène et maghrébine de Dijon étaient réunis dans la banlieue de la capitale bourguignonne. Leur objectif : convenir d’un arrêt des affrontements, en présence du père de I., 19 ans, dont l’agression a mis le feu aux poudres. »
La réunion a eu lieu dans une mosquée : c’est donc dans un lieu de culte musulman et dans un cadre musulman que se détermine l’ordre républicain. Précisions de l’hebdomadaire : « Une sorte d’armistice, placé sous le sceau du religieux, face à un État longtemps impuissant à rétablir l’ordre. ». D’un certain point de vue, cela se comprend d’après ce que rapporte Valeurs Actuelles ce même jour : « Notre réponse sera extrêmement ferme ». En visite à Dijon, mardi 16 juin, en marge des violents affrontements entre communautés maghrébine et tchétchène, le secrétaire d’Etat Laurent Nunez avait était très clair : « les auteurs […] seront poursuivis et sévèrement punis, à la hauteur des actes graves ». Pourtant, trois des quatre personnes qui avaient été interpellées lundi lors des violences urbaines ont été remises en liberté ». Une réponse ferme ? Etonnant : si tout le monde est relâché ou presque, l’on, peut se demander de quelle manière des individus incriminés pourraient être expulsés…
Le Monde publie des articles plutôt neutres, beaucoup moins alarmistes que les fréquentes enquêtes sur les « risques » liés à l’extrême droite, se calquant sur l’opinion de François Rebsamen, maire de Dijon — « Le maire (PS) de Dijon, François Rebsamen, a dénoncé le manque de moyens des policiers, face à quelque deux cents Tchétchènes, munis de barres de fer, de battes de baseball et, parfois, d’armes à feu. « Puisque la justice passe trop tard et que la police n’a pas les moyens de son action, la communauté tchétchène est venue faire respecter elle-même son droit », a analysé le maire, en campagne pour un quatrième mandat. » -, évoquant les « Tchétchènes » mais omettant volontairement toute référence à l’origine des habitants des quartiers, qui sont pour ce journal des Français.
La Croix ? Le quotidien revient, le 17 juin, sur l’origine des violences : « Tout a été déclenché, semble-t-il, par le passage à tabac, pour des raisons encore floues, d’un jeune de 16 ans d’origine tchétchène, dans un bar à chicha du centre-ville de Dijon, par une dizaine d’agresseurs connus pour des trafics de stupéfiants. Un appel, lancé sur les réseaux sociaux au sein de la communauté tchétchène, aboutit à faire converger à Dijon, plus d’une centaine de personnes, venues de plusieurs villes de France, mais aussi de Belgique et d’Allemagne, selon le témoignage d’un des participants dans le quotidien régional Le Bien public. » La Croix signale que le quartier des Grésilles n’a pas été le seul concerné, mais aussi la commune de Chenôve, de l’agglomération de Dijon, une commune dont, déjà, les premiers observateurs des territoires perdus de la république disaient, dans les années 90 du 20e siècle, que la situation était explosive. C’était il y a au moins 30 ans.
Le tonneau des Danaïdes
Depuis ? Ce sont des milliards qui ont été déversés sur ces quartiers qui, loin d’être abandonnés, sont les plus aidés de France. Pour quels résultats ? Cela n’entraîne pourtant aucune interrogation quant aux personnes qui y vivent et qui, tout de même, doivent bien avoir une petite responsabilité dans l’état de ces mêmes quartiers.
Il y a donc bien des ethnies extérieures aux us et coutumes français et européens, dont les principales activités consistent à s’organiser en mafia, tout en percevant sans doute les aides sociales provenant du travail de ceux qui se lèvent tôt, et à s’entretuer à la mode de chez elles. Les faits viennent le montrer à ceux qui faisaient encore semblant de ne pas le voir : en réalité, la France est quotidiennement en feu, et ces incendies sont le fait des populations immigrées qui n’ont pas leur place sur le territoire national.
Pourtant, en règle générale les médias de grand chemin préfèrent s’en prendre à la police et soutenir tous les Théo et/ou Adama Traoré, tandis que nombre de responsables politiques organisent l’immigration de masse sous couvert de « droit d’asile ». Annoncé depuis longtemps par les prétendus « xénophobes », « fascistes », « extrémistes de droite », « néo-réacs » ou « identitaires », cette réalité est maintenant visible pour tout un chacun : la civilisation européenne et pour les européens existe-t-elle encore en France ?
Dans l’ensemble, une partie importante des médias convenus a été obligée d’admettre les violences ainsi que leur caractère ethnique, de même que la présence d’armes de guerre. Cependant, ces médias ont sciemment et consciencieusement laissé de côté, comme toujours, la cause majeure des violences dignes d’une république bananière qui se sont déroulées à Dijon : le poids des migrations en France, migrations qui sont source des tensions, soit directement, par la violence et les trafics menés par les immigrés, soit indirectement par le poids que cette même immigration fait peser sur ceux qui travaillent pour la collectivité : si la France est le pays où la pression fiscale est la plus forte du monde et en même temps le pays le plus ouvert à toute « la misère du monde » ce n’est pas un hasard. Le fait que les individus armés qui se battent dans les rues de France sont très majoritairement, ou tous, musulmans ne parait pas être un fait notable non plus pour les médias français.