Alors qu’il vient de confier les rênes de l’empire familial à son fils Alexander, George Soros — le philanthrope destructeur — est, à nouveau, sous le feu des critiques.
Attaquer Soros est-il antisémite ?
Lorsque le sujet Soros est mis sur la table, les anathèmes fusent. Antisémitisme et complotisme sont les principaux chefs d’accusation employés par les médias contre ceux qui osent évoquer l’influence de l’Open Society Foundations dans les domaines politiques, médiatiques ou culturels. Il n’est pas étonnant de voir Soros et ses épigones investir le champ des médias sous cette véritable digue de protection. Illustrons, en citant les exemples récents de Disclose ou Vice. Dans la même optique, il n’est pas plus surprenant de voir le domaine du fact-checking — autre manière de désigner la faculté à distribuer des certificats de complotisme — investi par Soros et consort.
Josh Hammer et Will Scharf répondent à la question
Dans une époque où les statues sont déboulonnées, les anathèmes le sont aussi. Ainsi, le 9 juin 2023, Josh Hammer, rédacteur en chef de Newsweek, et Will Scharf, candidat au poste de procureur général du Missouri, ont annoncé la création d’un groupe « les juifs contre Soros ». Dans une tribune publiée dans Newsweek intitulée « Nous sommes des juifs contre Soros », Josh Hammer charge Soros. Dès la première phrase, Soros y est qualifié d’« homme démoniaque », ajoutant qu’il est l’un des hommes les plus démoniaques qui façonnent les politiques en Amérique du Nord et en Europe. Dans les lignes qui suivent, le milliardaire hongrois y est décrit comme ce qu’il est : un militant mondialiste usant de ses canaux d’influences — et ils sont nombreux — afin de déstabiliser les États, de l’intérieur ou de l’extérieur. Son ingérence politique est évoquée au travers de ses dons faits aux différentes campagnes électorales, citons celui en faveur d’Hilary Clinton en 2016, ainsi qu’au travers de ses opinions politiques (et de ses actions !) destructrices pour les nations. L’ensemble de ses œuvres y sont passées au crible. Récemment encore, nous avons illustré cette main invisible qu’est celle de Soros en nous attardant sur le cas de la Roumanie postsoviétique.
Lever l’immunité factice de l’antisémitisme
Mais le rédacteur de Newsweek évoque un autre aspect de la domination de Soros : son immunité. Dans les médias mainstream, critiquer Soros est volontiers considéré comme un acte antisémite. Récemment encore, c’est Elon Musk qui a été victime de ce procédé après avoir critiqué le philanthrope sur Twitter. En réponse, Hammer énonce cette vérité : critiquer Soros ce n’est pas critiquer l’ensemble des juifs, ce n’est pas antisémite. Afin de contourner cette accusation, Hammer et Scharf se réfugient derrière l’un de leurs rares points communs avec George Soros : leur judéité. S’abritant derrière ce bouclier, ils le proclament : critiquer Soros ce n’est pas antisémite, parole de juifs !
Ce que demandent simplement Hammer et Scharf, c’est de sortir de cette disqualification de la critique de l’entreprise de Soros, permise par la malhonnêteté intellectuelle d’une poignée de journalistes complices.
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