Depuis le succès de la « théorie du genre » née aux États-Unis puis s’étendant à l’Europe les « lesbiennes, gays, transsexuels, bisexuels) sont à la mode.
Certains journalistes comme Caroline Fourest se sont faits des spécialistes de ce qu’il faut appeler par son nom : une propagande homosexualiste parfois ouvertement hostile à l’ « ennemi hétérosexuel ».
Les associations rassemblant des minorités sexuelles ont donc fleuri depuis une vingtaine d’années. Il existait une amicale gay et lesbienne de journalistes aux États-Unis depuis le début des années 1990. Cet exemple ne pouvait qu’être suivi en France. Libération du 17 mai nous l’apprend avec jubilation une association de journalistes LGBT sera bientôt créée.
Venant entre autres de Arte, Mediapart, Neon, Le Journal du sida, une douzaine de journalistes et photographes veulent aider leurs confrères « à traiter ces questions souvent méconnues, opérer une veille (c’est nous qui soulignons) sur le traitement de ce sujet par les rédactions, d’intervenir ou d’alerter ».
On connaissait les groupes de pression d’obédience politique ou d’intérêt économique, les lobbies du XXIème siècle seront aussi sexuels, exemple américain oblige.
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