Première diffusion le 08/11/2019
Si les bénéfices du réseau social ne cessent de progresser comme nous vous le disions il y a quelques jours, sa lutte contre la liberté d’expression ne semble pas vouloir faiblir.
Eté 2019 première alerte
En quelques lignes, nous publions le 6 juillet 2019 une tribune libre de lecteur sur Alain Duhamel ; le 22 juillet, Facebook supprime tous les partages vers l’article et les rétablit 8 jours plus tard, le tout sans explications. Entretemps le site subit une attaque qui le paralyse pendant 17 heures, sans plus de dommages. Un blogueur d’Agoravox qui avait relayé l’affaire le 1er août est à son tour victime de la censure de Facebook le 24 août.
Automne 2019, deuxième salve
Les anciens joueurs de flipper connaissent l’expression anglaise « Same player shoots again » quand le joueur a droit à une balle supplémentaire. L’Ojim a eu droit à une deuxième balle de Facebook mais une balle destinée à blesser la libre expression.
Nous avions mis en ligne une revue de presse sur le procès qui avait suivi l’action symbolique de Génération Identitaire contre le laxisme des autorités dans les Alpes où les clandestins passent aisément. Que pensez-vous qu’il arriva ? Nous reçûmes l’avis habituel : « votre publication blabla valeurs de la communauté blabla nous sommes au regret de supprimer votre post blabla ».
Il semble que les algorithmes du réseau (aidés par les trente mille censeurs employés directement ou indirectement par notre ami Mark Zuckerberg) ciblent systématiquement tout article relatant de manière non hostile l’action ou le procès de Génération Identitaire. Comme les relations favorables aux passeurs professionnels comme Cédric Herrou ne sont jamais censurées, on doit tirer une conclusion politique : le monde libéral libertaire auquel appartient le réseau social est un ferme soutien de l’immigration illimitée. Chacun en tirera les conclusions qu’il voudra.
Conduite à tenir
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