Le rôle de l’Observatoire du journalisme (Ojim) depuis 2012 est triple.
1. Vous informer sur ceux qui vous informent.
Quand en pleine campagne électorale, le journaliste et militant Élie Guckert laisse entendre que le candidat RN en Auvergne-Rhône-Alpes Andréa Kotarac est financé par les russes, nous faisons son portrait pour voir d’où vient l’accusation. Un portrait sourcé et révélateur.
2. Révéler les manipulations, par exemple par l’image.
Quand le 24 mai 2021 l’ONG complice des passeurs Open Arms publie sur son compte Twitter la photo d’un enfant mort sur une plage libyenne, avec le quotidien italien Il Giornale nous analysons cette manœuvre de pure propagande.
3. Combattre toutes les censures au nom de la liberté d’expression et d’opinion.
La journaliste Audrey Pulvar aime bien les blancs dit-elle mais veut les priver de parole. Nous publions la lettre de Benjamin Dormann qui révèle que déjà en 2012, Audrey Pulvar faisait censurer par Dailymotion une vidéo où il révélait ses accointances avec Terra Nova et les très atlantistes membres de la French American Foundation.
Ne parlons pas des procès, des vidéos, des infographies, des deux articles quotidiens. Tout ceci ne se fait pas tout seul, si je suis bénévole, webmestre, “gestionnaire de communauté”, rédacteurs, infographiste, vidéaste sont rémunérés. Nous vivons des dons de nos lecteurs et la récolte des trois derniers mois ne couvre pas la moitié de nos frais. Si vous pensez que nous avons un peu d’utilité, donnez : tout donateur reçoit notre dossier électronique sur Bellingcat, le pseudo journalisme d’investigation financé par Soros, tout don égal ou supérieur à 50 € reçoit dédicacée notre brochure papier sur Le Néo féminisme à l’assaut d’internet. Tous bénéficient d’un reçu fiscal de 66% de leur don. Merci d’avance et bon été.
Claude Chollet
Président