Un article de L’Orient Le Jour du 28/09/2012 - En Syrie où la presse est muselée depuis des décennies, une multitude de journaux clandestins et de sites Internet nés d’initiatives privées ont fleuri depuis le début du soulèvement. La plupart de ces médias soutenant l’insurrection travaillent dans le plus grand secret, et les journalistes utilisent des noms de plume de crainte d’être persécutés. Suryitna (Notre Syrie), Oxygène, Hurriyat (Libertés) ou encore Enab Baladi (Raisin local) sont certains de ces médias, lancés pour la plupart par des citoyens journalistes. (…)
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