Cher donateur, Cher lecteur,
Vous faites partie des soutiens — ou futurs soutiens — de l’Observatoire du journalisme (Ojim), nous tenons à vous informer de ce que deviennent vos dons.
Lors de notre dernier appel aux dons nous avions comme objectif 15.000 €, nous en avons obtenu la moitié soit 7.500€. On peut voir le verre à moitié vide ou à moitié plein, nous le voyons à moitié plein dans un moment de crise où beaucoup sont touchés de différentes manières, médicales, sanitaires ou économiques.
L’Observatoire du journalisme se développe grâce à vous, il faut continuer !
Ce budget ne nous permettra pas de réaliser des podcasts audio ou du moins pas maintenant. Par contre notre première brochure imprimée Yann Barthès, le ricanement au Quotidien. Chronique d’une imposture est imprimée, en vente aux Editions de la Nouvelle Librairie. Nous en prévoyons trois autres assez vite, une sur la scandaleuse affaire Obono/Valeurs Actuelles, une sur ce que cache la mode des infox/fake news, la troisième plus technique sur la clause de cession des journalistes. Deux vidéos sont en cours de réalisation, une plus institutionnelle de présentation de l’Observatoire, l’autre destinée aux réseaux sociaux sur la brochure Yann Barthès. D’autres suivront. Tout ceci n’aurait pas vu voir le jour sans vous, soyez-en chaleureusement remerciés.
Après 8 ans d’existence nous passons pour la première fois au tribunal. Monsieur Ramzi Khiroun, ancien chauffeur et garde du corps de Dominique Strauss-Kahn, actuel porte-parole du groupe Lagardère nous attaque pour « injures publiques ». La peine peut aller jusqu’à 12.000 € d’amende plus des dommages et intérêts. Par une erreur de la partie adverse nous avons appris que c’est le groupe Lagardère qui couvre les dépenses judiciaires de Monsieur Khiroun. Pour nous, aucun groupe ne nous défend ni ne nous subventionne. Nous refusons subventions et publicités, gage de notre indépendance. La première audience est fixée au 7 octobre devant la XVIIème chambre. Si vous voulez nous soutenir, votre don servira à nous défendre et aussi à nous développer, nous ne baissons pas les bras.