Il n’y a aucune raison que le crétinisme soit réservé à une nation. Grande nation peut produire petits crétins dit un proverbe (inventé). Mais une « petite » nation (par petite nous entendons par la taille, pas par le prestige) peut engendrer de grands crétins, de sexes divers. Nous devons à l’Antipresse l’exhumation d’un article du quotidien suisse Le Temps du 30 janvier 2018 sous la signature de Julie Rambal, sous le titre « On ne peut plus rien dire , vraiment ? », qui est un fleuron du genre. Et où la journaliste se convainc gentiment de l’aspect salutaire de la censure. Visite des lieux.
Il, elle ou iel dans Le Monde, examen d’une série de pathologies
Brieuc, vous connaissez ? Pas Saint-Brieuc en Bretagne, mais une pauvre chose, vaguement barbue, aux cheveux violets ou bleus, habillée d’une jupe, en photo dans le quotidien du soir daté des 9/11 juin 2019. Brieuc est un homme de 21 ans qui a choisi d’être non-binaire. Ce qui aurait été considéré au mieux comme une plaisanterie de potache, au pire comme un trouble, est pris très au sérieux, voire comme un modèle, sous la signature de Solène Cordier.
Conflit entre Majelan et Radio France
Majelan avec un seul L et sans G, rien à voir avec l’explorateur. Comme nous vous en informions récemment, Majelan est la société de podcasts audio de Mathieu Gallet, l’ancien PDG de Radio France débarqué pour favoritisme et peut-être aussi pour avoir déplu à Emmanuel Macron en ne démentant pas avec assez de vigueur une supposée liaison avec l’alors candidat à l’élection présidentielle.
Europe 1, valse des dirigeants et nouvelle grille
Alors qu’Europe 1 ne cesse de perdre des parts d’audience et qu’une grève des équipes digitales le 9 avril a encore secoué la rédaction, Arnaud Lagardère a voulu s’engager le 4 juin 2019 en se rendant devant les équipes pour les « rassurer », mais l’avenir s’annonce toujours aussi incertain.
Radio France, des économies et du numérique
Nommée depuis un an à la tête de Radio France, Sibyle Veil, de la même promotion de l’ENA qu’Emmanuel Macron et réputée proche du président, doit à la fois réaliser les économies demandées par les autorités (60M€ sur trois ans) et développer le digital.
France Inter, machine à infox contre les adversaires du macronisme ?
Que les médias français soient majoritairement de parti pris sur le plan politique et culturel, ce n’est plus à démontrer. Il arrive cependant que le quatrième pouvoir du régime libéral libertaire en place offre des cas d’école, à ce point caricaturaux qu’ils en sont succulents.
Claas Relotius, saint, pêcheur, excommunié de la communauté médiatique
Infox. Fake news. Complotisme. Tels sont les qualificatifs employés par les médias dominants pour disqualifier ceux qui les critiquent. Alors qu’ils diffusent du faux, parfois involontairement, parfois en toute connaissance de cause. Nous vous avions déjà parlé en début d’année 2019 de Claas Relotius, journaliste du Spiegel. Le Spiegel, grande conscience libérale libertaire allemande, qui publiait des reportages inventés. De nouveaux éléments indiquent qu’une partie de sa direction était aussi à la manœuvre.
La famille Berlusconi étend son empire médiatique
Le groupe de médias italien Mediaset, dont l’actionnaire majoritaire est la holding familiale des Berlusconi, vient d’acheter 9.6% du capital du groupe médiatique allemand ProSiebenSat.1.
Saint-Louis des Invalides : une profanation occultée par les médias
Cachez cette profanation que nous ne saurions voir ! Les médias mainstream ont brillé par leur silence sur les événements survenus le 22 mai 2019 en la cathédrale Saint-Louis des Invalides, et sur leurs conséquences, malgré l’émotion qu’ils ont suscité au sein de l’institution militaire, alertée par Internet et ses réseaux sociaux.
The Epoch Media Group, une stratégie archéofuturiste et ubiquitaire
Peu d’Européens connaissent le groupe Epoch inspiré par le mouvement Falun Gong et diffusant à la fois en chinois, anglais et français sans compter de multiples autres langues.
La loi sur l’audiovisuel en panne
Les rapports entre le pouvoir et les médias publics sont toujours délicats. Nicolas Sarkozy avait été accusé d’autoritarisme en voulant nommer directement les présidents des différents médias publics. François Hollande avait été soupçonné de les choisir par la bande. Qu’en sera-t-il dans le cadre de la prochaine loi, si celle-ci voit bien le jour ?
Facebook sera-t-il démantelé ?
Alors que les scandales se multiplient autour de lui, informations privées rendues publiques ou revendues, accusations d’espionnage, non-respect systématique de la vie privée, affaire Cambridge Analytica, amendes et menaces d’amendes, etc, le réseau social accumule les bénéfices trimestriels autour de cinq milliards de dollars. Trop gros pour tomber disent certains, trop gros pour ne pas devoir être démantelé disent d’autres.