Lors de l’acte XXII des gilets jaunes à Paris le 20 avril 2019, le chef de l’agence Taranis News Gaspard Glanz a été arrêté place de la République puis mis en garde à vue 48 heures pour « participation à un groupement en vue de commettre des violences ou des dégradations. Il comparaîtra en jugement le 18 octobre pour « outrage à personne dépositaire de l’autorité publique ». Son image de martyr est écornée par ses pratiques contre ses confrères.
La toile des médias Gilets Jaunes s’étend sur les réseaux sociaux
Tandis que le gouvernement a fini par se persuader que le mouvement des gilets jaunes est mort ou mourant, l’essor de leurs médias sur les réseaux sociaux – au premier lieu Telegram – indique une tendance contraire. Et même, depuis début mars, un net regain d’activité tant sur les réseaux sociaux que le terrain.
Une pétition pour empêcher l’extradition de Julian Assange
Julian Assange dont nous commentions l’arrestation le 11 avril 2019 est menacé d’extradition vers les États-Unis directement depuis le Royaume-Uni (où il purge une peine de 50 semaines de prison pour avoir manqué à sa liberté conditionnelle) ou via la Suède. Une pétition est en cours à laquelle l’Observatoire s’associe. Le texte de la pétition, dont vous trouverez ci-après la traduction, est en anglais.
Le Vice coûte cher
Non, nous ne lancerons pas dans un débat sur le rude combat du vice et de la vertu. Plus prosaïquement, nous évoquerons le groupe américain de médias Vice qui vient de lever 250 millions de dollars.
Lagardère médias poursuit sa politique d’amaigrissement, Europe 1 en danger
Lagardère se recentre de plus en plus sur ses activités les plus rentables, la distribution presse (Relay) et surtout les boutiques hors taxes qui constituent l’essentiel des bénéfices. De nouvelles cessions sont en vue et Europe 1 ne semble plus à l’abri d’un changement de propriétaire
Facebook veut influencer les élections européennes
Vous connaissez l’histoire du pompier pyromane ? Qui dans un premier temps allume un feu pour avoir l’occasion de l’éteindre et, dans un deuxième temps, voit que le feu a détruit tout un quartier. C’est un peu l’histoire de Facebook avec les infox/fake news. Sous prétexte de recherche de la vérité, Facebook s’aligne sur le politiquement correct.
Le Guardian retrouve un équilibre
Pour survivre à vingt années de pertes, il faut avoir les poches profondes et surtout dépendre d’une très riche fondation indépendante. Et pour rétablir l’équilibre, il faut aussi avoir trouvé un mode de financement original, via les dons.
Les rechutes du docteur Merchet
Docteur Jean-Do et mister Merchet… Les ambiguïtés de l’atypique parcours journalistique de Jean-Dominique Merchet finissent-elles par ressurgir ? C’est ce que laisse penser le traitement, par son blog Secret Défense, de l’affaire dite du général Loustaunau-Lacau, figure emblématique de la Résistance dont le nom avait été donné en 2017 à une promotion de l’École spéciale militaire (ESM) de Saint-Cyr.
Le politiquement correct au pouvoir lance un assaut migratoire contre l’école
L’école est un enjeu majeur pour les tenants de l’idéologie au pouvoir et du politiquement correct. Elle est comme assaillie par des formes d’éducation aux médias tout azimut et se déclinant en nombre de formes diverses, une « éducation » véhiculant des messages ouvertement idéologiques. En ce domaine, le CLEMI a encore frappé.
Le monde médiatique en soutien à Looking for Europe de BHL
Bernard-Henri Lévy fait actuellement une tournée dans 22 villes européennes pour présenter sa nouvelle pièce de théâtre, “Looking for Europe”, qui n’est autre qu’un grand monologue relatant sa vision de l’Europe.
Une brève histoire de la censure
Nous avons à plusieurs reprises – et encore la semaine dernière – abordé la question du « politiquement correct ». Celui-ci, désormais dans les mains des réseaux dits « sociaux » et contrôlé par les tenants de la société diversitaire, n’est-il pas d’abord l’héritier de la censure d’État, à laquelle il s’est substitué ? Et la censure d’État, comment fonctionnait-elle dans les époques et régimes passés ?
Une étude de la SCAM sur la condition des journalistes, plus de précarité, moins de liberté
La SCAM (Société civile des auteurs multimédias) réalise tous les cinq ans une grande enquête sur la condition des journalistes, la dernière décrit la situation de 2018 en la comparant à celle de 2013. Plus de 3700 journalistes ont répondu à l’enquête menée par Béatrice de Mondenard.