Après les faux, place aux vrais médias des Gilets jaunes. À côté des tentatives de l’extrême-gauche de mettre le grappin sur les Gilets jaunes via le vrai-faux média « collectif » GJ Info, une toile de médias locaux et moins locaux sur les réseaux sociaux émanent des Gilets jaunes sur le terrain. Commençons par ceux qui se trouvent sur Telegram, nous nous intéresserons ensuite aux autres réseaux sociaux et aux initiatives du terrain.
Les petits Blancs existent : L’Express les a rencontrés !
Depuis le temps qu’on en parlait, on commençait à douter de leur existence. L’Express les a rencontrés. Dans son numéro paru le 28 février, l’hebdomadaire consacre un dossier aux « petits blancs ». Nous avons voulu en savoir plus.
Groupe Le Figaro : les diversifications paient
Comment s’en tirent les médias qui gagnent de l’argent ? Comme TF1 et La Tribune, ils font autre chose que des médias. Le groupe Le Figaro suit cette voie.
Aide publique pour les médias : les quinze principaux bénéficiaires en 2017
Si sur la période 2012/2017 les grands groupes de médias trustent les aides à la presse, il est souvent difficile de s’y retrouver dans le maquis des subventions. La Correspondance de la presse clarifie les choses dans un tableau (sans doute à compléter) pour l’année 2017.
LCI toujours à la peine
Quand TF1 a obtenu le passage de LCI du crypté (payant) au public (gratuit) pour élargir son audience en avril 2016, le groupe avait de grandes ambitions pour sa chaine en continu. Concurrencer BFMTV, CNews (de Canal+) et pourquoi pas un jour les dépasser. Presque trois ans plus tard le paysage est moins riant.
Trois vainqueurs aux Bobards d’Or 2019
La comédie de boulevard des médias autrement dit la cérémonie des Bobards d’Or s’est tenue le 18 février 2019 au Théâtre du Gymnase à Paris devant 700 personnes. La cérémonie a été marquée par l’émotion quand la très jeune Fiorina, une femme gilet jaune défigurée par une grenade est montée sur scène, un œil perdu et une partie du visage enfoncé. Trois prix ont été remis par le public « aux meilleurs mensonges de 2018 » et aux meilleurs menteurs
Antisémitisme : une condamnation sélective des médias
On aura beaucoup parlé de l’antisémitisme durant ce mois de février. Des insultes à l’encontre d’Alain Finkielkraut à la manifestation du 19 février en passant par la profanation de certaines tombes, l’actualité n’aura pas été avare en la matière. Pour plusieurs médias, l’indignation semble sélective dans cette condamnation.
LOL ! Le Monde flique Les Inrocks
On aura tout vu dans la presse libérale libertaire, y compris le déchirement entre potes une fois révélés les tréfonds du fonctionnement du petit milieu médiatique : c’est fusillade en règle à Boboland Corral-LOL.
GJ Info, le faux média des Gilets jaunes aux mains de l’extrême-gauche
Depuis le début du mouvement des Gilets jaunes, nombreux sont ceux qui veulent tirer les marrons du feu et parler à sa place. De nombreuses tentatives d’infiltration du mouvement proviennent de l’extrême-gauche, tant dans les manifestations des grandes villes (Nantes, Rouen, Bordeaux, Saint-Étienne, Paris, Marseille…) que dans la bataille pour le contrôle de la parole. Ainsi GJ Info, actif sur Telegram, n’a rien à voir avec les vrais Gilets jaunes et tout à voir avec l’extrême-gauche qui le contrôle.
Majelan de Mathieu Gallet, après Radio France du beau monde et des sous
Mathieu Gallet – qui n’avait pas démérité à Radio France – retrouve ses amours radiophoniques en lançant Majelan, une société de production de podcasts audios.
Quand Quotidien de Yann Barthès encourage le racisme anti-blanc
L’anti-racisme est le communisme du XXIème siècle a pour coutume de dire Alain Finkielkraut. Il y a parfois mieux, le racisme anti-blanc sous couvert d’anti-racisme tout court. C’est ainsi que l’écrivain américaine Neil Irvin Painter a pu le 7 février 2019 déverser son mépris des Blancs à l’antenne de l’émission Quotidien de Yann Barthès sur TF1.
Manifestation contre l’antisémitisme et manipulation médiatique
Le mardi 19 février 2019, une manifestation contre l’antisémitisme a été organisée à Paris et dans plusieurs villes de province. Le parti socialiste – en quête de visibilité politique et médiatique — en a été à l’initiative et a délibérément choisi de ne pas inviter certains partis politiques. Une occasion en or pour plusieurs médias pour diaboliser ces derniers selon une technique éprouvée.