Le cinquième volet de la série documentaire de France 2, « Histoires d’une nation » est consacré aux « générations », ce qui n’est pas très clair. Sauf à comprendre que l’histoire de France serait un ensemble d’histoires de « générations » successives de personnes venues d’ailleurs ? L’interprétation est délicate, le choix de ce titre étant flou. Ce qui n’est pas le cas de l’ensemble de ce dernier épisode, lequel s’inscrit pleinement dans un moment où une volonté de limiter la liberté d’expression semble s’associer avec une volonté de réécrire l’histoire de France,.
Dossiers
Contrairement aux brèves qui traitent de l’actualité immédiate, les dossiers prennent du recul, sont plus longs, demandent plus de temps. Notre dossier sur les investissements américains dans les médias des Balkans via le fonds KKR et le général Petraeus (ex directeur général de la CIA) a demandé plus de six mois d’enquêtes et a été traduit en 9 langues.
Histoires d’une nation ou France 2 au pays des Soviets. Première partie
La réécriture de l’histoire aux fins idéologiques contemporaines, avec Histoires d’une nation, est en marche, et cela ne s’était pas fait de façon aussi outrancièrement idéologique depuis les grands récits propagandistes du siècle passé.
Élections européennes 2019 : les éléments de langage des médias français
La campagne pour les élections européennes est déjà lancée. Ce ne sont pas seulement les politiciens qui ont donné le top départ, ce sont aussi les médias mainstream. Beaucoup d’entre eux en ont défini les enjeux et les challengers. Ils utilisent par ailleurs dans de nombreux débats, tribunes et articles des argumentaires identiques à ceux des partis politiques qui ont leur préférence. Nous passons en revue les éléments de langage utilisés pour les différents thèmes.
George Soros et la société ouverte. Troisième partie
Après l’étude de l’origine de sa fortune et celle de son soft power nous publions la troisième partie des bonnes feuilles de l’ouvrage de Pierre-Antoine Plaquevent consacré à George Soros aux éditions Le Retour aux sources.
George Soros et la société ouverte. Deuxième partie
George Soros est passé maître en matière de soft power et il aime se présenter comme un homme de paix, pourfendeur des fauteurs de guerre et des nationalismes. Une sorte de Robin des Bois milliardaire qui viendrait aider, partout dans le monde, les faibles et les démunis, écrasés par la tyrannie des “sociétés closes”.
Histoires d’une nation ou France 2 au pays des Soviets. Quatrième partie
Le quatrième volet de la série documentaire de France 2, « Histoires d’une nation » est consacré à « la gloire de nos pères », autrement dit les immigrés qui ont travaillé « sans cesse », sauf à dormir « vingt minutes » entre trois métiers affirme un témoin, durant les Trente Glorieuses, « pour faire la France » (décidément une rengaine de cette série) et permettre à leurs enfants de gravir les marches de l’ascenseur social du pays, à l’image de Zinedine Zidane, figure en filigrane permanent de cet épisode.
Histoires d’une nation ou France 2 au pays des Soviets. Troisième partie
Le troisième volet de la série documentaire de France 2, intitulé « Des héros dans la tourmente », ne déroge pas au ton des deux premiers : Histoires d’une nation est un outil de propagande. Après avoir analysé la raison d’être de la série, puis décrypté le premier épisode, l’OJIM plonge dans les images d’un épisode 3 dont le maître mot est amalgames en chaîne.
Histoires d’une nation ou France 2 au pays des Soviets. Deuxième partie
Histoires d’une nation, au fond, c’est un documentaire à charge contre la France des Français, une plongée dans la mythologie issue de la déconstruction des libéraux culturels, la manière dont ils se racontent l’histoire de France dont ils ont besoin pour fabriquer le pays qu’ils veulent maintenant et demain. De tout temps, cela a porté un nom : propagande. La suite ne peut que promettre…
La gauche intellectuelle en ligne 3/3 : AOC contre Steve Bannon
Toujours correctement soutenus, d’une façon ou d’une autre, financièrement ou amicalement, ou les deux, les médias de la gauche libérale culturelle ne manquent pas. Ils ne changent guère non plus, machines militantes avant d’être médiatiques. La preuve par AOC.
Mineurs étrangers : une filière d’immigration en pleine expansion et à bas bruit médiatique
Les arrivées de mineurs étrangers en France n’ont pas pris de vacances. Parmi les incitations à venir dans notre pays, certaines dispositions du code de l’action sociale sont bien placées. L’aide sociale à l’enfance (ASE) prévoit en effet une prise en charge inconditionnelle des « mineurs isolés ». Initialement prévue pour protéger les jeunes en rupture ou sans famille, cette mesure est depuis quelques années détournée de son objectif initial et facilite une immigration clandestine de plus en plus massive. Nous nous sommes attardés sur le traitement médiatique durant l’été de ce phénomène en pleine expansion.
Le gros rouge AOC de Sylvain Bourmeau
La « gauche » médiatique, du moins celle qui se définit ainsi, bouge encore ! Se sentant visiblement à l’étroit dans la presse officielle, où elle vivait pourtant heureuse depuis longtemps, profitant allègrement du caviar ambiant, une partie de cette gauche semble vouloir quitter le nid depuis qu’Aude Lancelin s’est aperçue, et a écrit, qu’elle travaillait pour le méchant capital. Elle n’est plus seule : Bourmeau veille en ligne depuis le 25 janvier 2018.
Crise migratoire dans les médias : un catalogue sans cesse renouvelé d’arguments en faveur de l’ouverture des frontières
Les Français ont bien compris l’ineptie d’ouvrir les frontières en période de stagnation économique et de communautarisme grandissant. Mais cela n’ébranle pas les certitudes de « la France d’en haut », dont les porte–paroles monopolisent les micros des radios et les éditoriaux des journaux.