Il y a un mois et demi, fin juin 2018, Vice News donnait tribune ouverte à Clémence Allezard, co-présidente de l’association des journalistes LGBT. Déjà connue pour avoir édité un « guide » au printemps 2014 à destination des médias, une entreprise de « rééducation » au service du politiquement correct que bien peu dans la presse mainstream ont eu le courage de critiquer, exception faite de Judith Waintraub pour le Figaro. Il y avait pourtant de quoi – l’association encourageait ainsi les journalistes à militer ouvertement contre la Manif pour Tous, en se réclamant de l’entre-soi du journalisme.
Le gros rouge AOC de Sylvain Bourmeau
La « gauche » médiatique, du moins celle qui se définit ainsi, bouge encore ! Se sentant visiblement à l’étroit dans la presse officielle, où elle vivait pourtant heureuse depuis longtemps, profitant allègrement du caviar ambiant, une partie de cette gauche semble vouloir quitter le nid depuis qu’Aude Lancelin s’est aperçue, et a écrit, qu’elle travaillait pour le méchant capital. Elle n’est plus seule : Bourmeau veille en ligne depuis le 25 janvier 2018.
« Éducation aux médias », le camp du Bien s’inquiète et accélère
Alors que les attaques politiques s’accentuent contre la remarquable partialité des médias dominants — comme le montre le post de Jean-Luc Mélenchon dans son blog fin février 2018 – les médias mainstream organisent coûte que coûte leur défense. Illustration sur le blog Focus Campus du Monde du 3 mars 2018.
Islam radical dans les médias : de quoi cette empathie est-elle le nom ? L’exemple de Libération
Alors que débute le Ramadan et que 300 imams étrangers arrivent sur le territoire national, une étrange ambiance règne dans les médias quand il s’agit d’évoquer l’islam radical. Un cas d’école avec Libération, le 14 mai 2018.
Haro sur la liberté d’expression en France ?
Avant l’annonce du président Macron, les restrictions de la liberté d’expression étaient déjà en cours sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter en particulier. Restrictions de la liberté d’expression en France ? On dira, halte à la paranoïa… et pourtant ?
Routiers et policiers à Calais : les oubliés des tribunes dans les médias
En 2015, l’OJIM évoquait « le peuple en angle mort à Calais ». Les routiers et les policiers affectés à Calais ne sont pas en reste. Les tribunes et déclarations se multiplient dans les médias pour dénoncer « les violences policières » contre des migrants à Calais. À la lecture de ces prises de position, on en conclurait rapidement à un acharnement de la part des policiers. La réalité est pourtant plus nuancée…
Les « mâles blancs » en ligne de mire : qu’en disent les médias ?
Le moins qu’on puisse dire, c’est que les « mâles blancs » n’ont pas bonne presse ces derniers temps. Sans parler de la dénomination désormais utilisée sans complexe, il devient courant dans certains milieux de fustiger ceux qui composent encore une large part de la population française.
Soros demande à l’Union Européenne de « réguler les réseaux sociaux »
Il était une fois… ça commence comme un conte de fées… Il n’y a pas si longtemps internet et les réseaux sociaux pouvaient être considérés comme un refuge pour la liberté d’expression et un courant d’air frais loin de la propagande douce des médias dominants.
L’ONU via Le Monde : « une migration bien gérée est à l’avantage de tout le monde »
C’est sous ce titre anodin et en apparence facilement partagé par beaucoup de monde que le quotidien du soir interroge (numéro daté du 4/5 mars 2018) Louise Arbour représentante spéciale de l’ONU pour les migrations internationales.
Fake news et complotisme, pour quoi faire ?
Le 7 janvier 2017, Franceinfo rendait publics les résultats d’une étude selon laquelle huit français sur dix croiraient à « au moins une théorie du complot ». Il s’agit d’un sondage IFOP réalisé pour le compte de la Fondation Jean Jaurès et l’association conspiracy watch. À quoi une telle étude peut-elle bien être utile ?
Twitter : des bénéfices et plus de censure
Plus de 12 ans après sa création, Twitter engrange enfin des bénéfices – soit 91 millions de dollars (74 millions d’€) entre octobre et décembre 2017. Cependant, le réseau social est toujours au milieu des polémiques, les premières liées au caractère durable ou non de son modèle économique, les secondes à une censure croissante – surtout des opinions de droite.
Élections en Italie : les médias pompiers veulent-ils éteindre le feu ?
L’analyse des résultats d’une élection est un exercice difficile. À l’occasion des élections législatives qui ont eu lieu le 4 mars en Italie et de la progression de partis dits « populistes », nombre de médias ont trouvé une explication rapide. Ils utilisent des éléments de langage, dont on ne sait plus qui les a introduits ni pourquoi on les répète ad nauseam.