Police de la pensée : David L’Épée et Libération

Pre­mière dif­fu­sion le 2 mai 2023

David L’Épée est suisse, conférencier, écrivain, journaliste, collaborateur de la revue Éléments, rédacteur en chef de la revue Krisis. Dans le style habituel du journalisme de délation, il a été gravement attaqué par Libération et il contre-attaque en portant plainte.

Police ! Vos papiers !

Dans un arti­cle récent, nous avons mon­tré com­ment Check­News, la rubrique de véri­fi­ca­tion du quo­ti­di­en de Messieurs Drahi/Křetín­ský, se com­por­tait comme un ser­vice d’auxiliaire de police, avec une méthodolo­gie simple :

1. Iden­ti­fi­ca­tion du con­trevenant politique.
2. Sig­nale­ment aux autorités con­cernées, police, mag­is­trats, pré­fec­tures, écoles, entre­pris­es etc pour mesures à pren­dre, en vue de licen­ciement, exclu­sion ou mise à l’écart.
3. Suivi pour appli­ca­tion de la sanc­tion pour que le « coupable » perde ou son tra­vail ou ses études ou une quel­conque pos­si­bil­ité de pro­gres­sion dans son domaine.

Voir aus­si : Check­News est-il un ser­vice de la police de la pensée ?

David L’Épée diffamé

Dans un arti­cle du 13 avril 2023, le trio habituel de ce que nous pou­vons appel­er les pro­fes­sion­nels du jour­nal­isme de déla­tion, Pierre Plot­tu, Maxime Macé et Nico­las Mas­sol ont attaqué le jour­nal­iste suisse. Le pré­texte en était la par­tic­i­pa­tion de David L’Épée à un col­loque organ­isé con­tre le wok­isme le 21 avril par le groupe ID du Par­lement européen dont le RN fait partie.

Résul­tat, voulant éviter toute polémique, le groupe ID a décom­mandé David L’Épée, une déci­sion que l’on peut à la fois com­pren­dre et regret­ter, dans cet ordre. Le mieux est de laiss­er la parole à l’intéressé, que nous assurons de notre solidarité

Voir aus­si : Pierre Plot­tu, portrait