Jeudi dernier, Jean-François Copé rappelait à Jean-Jacques Bourdin que sa matinale avait été la moins bien notée par un article du Figaro publié le jour-même.
Dans l’article en question, Le Figaro écrivait : « On n’est pas fans de ses indignations sur commande et de ses coups de gueule en rafales. […] Les intervenants, journalistes ou invités, semblent eux-mêmes effrayés par l’ouragan Bourdin ». Et le journal de parler d’une « matinale énervante » en lui attribuant la note de 6/20.
Agacé, Jean-Jacques Bourdin a réagi à l’antenne. « Ce n’est pas signé. Évidemment, le courage n’est pas facilement partageable », a‑t-il lancé avant de déclarer ironiquement que « ça [lui] rappel[ait] les notes qu’[il avait] quand [il était] au lycée ».
Et le journaliste de conclure : « Vous savez ce qui déplaît au Figaro ? C’est la liberté et l’indépendance. Quand on est affilié à un parti politique [Bourdin fait référence à l’UMP, ndlr], évidemment, il est difficile de supporter la liberté et l’indépendance. »
Crédit photo : UMP photos via Flickr (cc)