Les patrons du syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN) tirent la sonnette d’alarme.
Pour peser sur le plan de restructuration qui prévoit la suppression de 1250 sur 2500, les salariés de Presstalis ont débrayé une trentaine de fois depuis octobre 2012 « faisant peser un risque insoutenable sur les 30 000 marchands de journaux répartis sur le territoire » et « fragilisant considérablement les sociétés de presse qui subissent des pertes de recettes récurrentes ».
Comment en est-on arrivé là ? L’Ojim est remonté aux sources et vous propose un dossier complet pour comprendre l’histoire et les enjeux d’un diffuseur qui sous la coupe d’un syndicat jusqu’au-boutiste, est en train de scier la branche sur laquelle il est confortablement assis…
Crédit photo : capture d’écran Presstalis.fr