Devant les déferlements successifs de la haine des Blancs, des repentances larmoyantes, des lâches agenouillements, les médias français de grand chemin ont suivi la ligne lacrymale dominante. Mais nos amis allemands ne sont pas en reste, comme l’indique un article de l’hebdomadaire allemand Junge Freiheit du 26 juin 2020.
Les médias de droit public et la vérité
Sur la deuxième chaîne (allemande, NDR), la ZDF, on est effrontément manipulé. “White lives matter”, “les vies de Blancs comptent” était inscrit sur une bannière que les fans de l’équipe de Burnley ont fait tirer par un avion survolant le stade de Manchester City juste au moment où les équipes, suivant le rituel habituel, s’agenouillaient sur le terrain devant le mouvement radicalement à gauche “Black lives matter”.
Un “acte raciste, provoquant la consternation”, selon la deuxième chaîne nationale allemande dans son émission “aujourd’hui”. Afin que vraiment tout le monde croit leur interprétation unilatérale, les responsables de l’émission ont même eu recours à une traduction erronée : “Seules, les vies des Blancs comptent.”
Après des protestations massives de téléspectateurs, la deuxième chaîne a rectifié son essai évident de manipulation. Cependant, ce n’était pas un dérapage. Les responsables de l’émission “aujourd’hui”, justement, gouvernants idéologiques puissants, ne cachent pas leur mépris des téléspectateurs. À qui, faisant allusion à la mauvaise connaissance de l’allemand des casseurs qui ont détruit le centre-ville de Stuttgart il y a quelques jours, ce groupe de casseurs “Allahu akbar” étant majoritairement composé de migrants, veut s’informer à ce sujet, on répond avec ironie que la langue allemande “est connue pour la richesse de ses dialectes régionaux.”
Peu de choses en commun avec le journalisme
Le modérateur du “journal du jour” Claus Kleber, présente depuis peu ses commentaires toujours pédants avec un hoquet pour marquer l’astérisque de genre. En la personne de Jan Böhmermann, la ZDF s’est permis un alligator vaguement déguisé en clown qui cogne sur tout ce qui n’est pas radicalement à gauche. Même les plus petits ne sont pas épargnés : sur les pages du programme d’endoctrinement leur est inculqué ce que l’on a le droit de dire ou non : “of color” bien, “coloré” (auparavant = noir, AA) et pourquoi certains veulent effacer de la langue le méchant mot “race”.
On peut tout se permettre, quand, grâce aux taxes de l’audiovisuel, les milliards coulent de toutes les manières et que l’on est indépendant de ce qu’en pense le public. Seulement, tout cela n’a plus vraiment grand-chose en commun avec le journalisme et la chaîne devient, sans se gêner aucunement, en fait une chaîne de manipulation.
(Traduction AC)