Pour Bernard Debré, c’est clairement non. Ainsi, dans une lettre ouverte parue sur son site personnel, le député de Paris s’en prend à une journaliste du Monde, Béatrice Gurrey.
« Une ligne jaune vient d’être franchie », écrit-il. « Vous avez naturellement le droit de détester l’ensemble de l’équipe de campagne de NKM — on a les haines qu’on peut — mais voilà que vous
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dénoncez publiquement l’un de ses collaborateurs comme « franc-maçon ». Quel argument ! Quelle investigation » ! Et de continuer : « cette dénonciation n’est ni acceptable, ni supportable. Elle est, pour le dire comme je le pense, indigne ».
Qu’a donc fait cette journaliste, pour mériter un tel traitement ?
Au final, pas grand chose, puisque la phrase contestée, parue le 26 novembre dernier, est la suivante : « c’est avec Jérôme Peyrat, homme de réseaux, franc-maçon, chargé de mener les négociations avec les partis alliés ou d’organiser les relations avec diverses communautés que NKM fait route de façon quotidienne depuis le plus longtemps ».
Mais, si la colère de Bernard Debré semble un peu disproportionnée, il n’en demeure pas moins qu’il pose une vraie question : « Le Monde est il prêt
à révéler les engagements personnels, politiques, syndicaux, religieux ou philosophiques de ses rédacteurs tant cela risque d’influencer leur éventuelle subjectivité ? »
Pas sur que la réponse soit oui…
Source : Le Lab Europe 1 — crédit photo : kikoz via Flickr (cc)